mai 14

La NASA fera cohabiter imprimante 3D et recyclage dans l’espace

Lorsque la NASA se sera décidé à envoyer une imprimante 3D dans l’espace ( ce qui devrait arriver incessamment sous peu), cela risque fortement d’améliorer la vie des astronautes flottant au dessus de nos têtes, surtout lorsqu’il s’agira de faire des petites réparations à bord. Plus besoin ainsi d’acheminer des pièces de la Terre, il suffira de tout fabriquer à bord!

Toujours dans la même optique, l’agence spatiale compte également envoyer un appareil de recyclage de plastique dans la station. Ainsi, alors que l’imprimante Made in Space imprimera tout le nécessaire, sa comparse se chargera de récupérer les pièces usagées pour pouvoir fabriquer à nouveau de la matière première pour l’imprimante. La NASA s’est ainsi intéressé à la question au travers d’un financement de 125 000 dollars, la somme allant d’une part à Made in Space une fois de plus, la compagnie développant une machine à recycler du nom de R3DO. Une autre compagnie, cette fois basée dans les alentours de Seattle a également bénéficier de l’apport de l’agence avec son projet répondant au nom de Positrusion.

Les projets sont encore au tout début de leur mise en place mais si la NASA est bien partie pour installer une imprimante dans l’espace, il est plus que probable que le recycleur suive dans la foulée. Un beau moyen en tout cas de se préparer à d’éventuelles explorations lointaines (le besoin de matière première risquera alors de se faire sentir) tout en pensant au recyclage, même à des kilomètres au dessus de notre tête. En espérant désormais que le recyclage de cartouche connaisse le même  engouement sur la terre ferme!

mai 12

Un Japonais se fait arrêter pour possession d’arme imprimée

 

Alors que nous pensions que les faits-divers concernant les armes à feu venant des imprimantes 3D seraient l’apanage du pays à la bannière étoilée, c’est du côté du Japon qu’une affaire concernant la fabrication via impression d’un engin de mort a défrayé la chronique, causant ainsi le premier cas de ce genre dans le pays.

Un jeune homme de 27 ans a ainsi été arrêté suite à diverses accusations de possessions d’armes imprimées, causant un certain remous dans un pays qui se targuait jusque là de posséder l’un des taux de criminalité les plus bas au monde.  Les deux armes saisies chez le nippon ont par la suite été analysées, prouvant ainsi que les objets étaient parfaitement capables de tuer quelqu’un.  Aucune balle n’a cependant retrouvé dans le domicile du coupable.
Celui-ci aurait ainsi télécharger des plans depuis un site étranger et aurait avoué qu’il avait imprimé les armes sans l’intention de commettre un crime quelconque, croyant que ce n’était nullement illégal de le faire.  Loin de vouloir garder son activité secrète, le jeune homme s’amusait ainsi à poster régulièrement ses activités sur Twitter, attirant  la curiosité de la police qui n’a pas manqué de s’intéresser de plus près aux activités de l’accusé.

 

Les autorités ont refusé de commenter l’incident et on ignore encore quel sera le verdict cette l’affaire relativement inédit dans le pays. Il est tout à fait possible de posséder une arme au Japon mais le pays possède également des lois très stricts et avoir un révolver dans son tiroir n’est pas donné à tout le monde. Vu que ce type d’affaire ne risque pas d’être la dernière en son genre, on ignore ainsi si une nouvelle loi devrait être inventée à l’avenir pour fabrication d’arme à l’aide d’une imprimante!

mai 07

Mink 3D : comment se refaire une beauté avec son imprimante

Nos imprimantes peuvent comme vous le savez devenir des appareils au service des amatrices de maquillage et de manucure.  Cette assertion au premier abord saugrenue est cependant tout à fait véridique, les concepteurs d’imprimantes 3D ne reculant devant rien pour proposer régulièrement de nouvelles applications à l’appareil.

La dernière création en date se nomme la Mink 3D et cette nouvelle imprimante (encore à l’état de prototype néanmoins)  devrait ravir celles et ceux aimant se pomponner avant de sortir. En effet,  il vous sera possible de choisir n’importe quelle couleur que vous trouverez en ligne (ou que vous récupérez en prenant une photo quelconque sur votre Smartphone) et de transférer le tout par la suite sur Photoshop. Il ne vous restera plus qu’à faire une petite impression et vous pourrez vous tartiner le visage à loisir avec du rouge à lèvre ou autre crème de votre choix.
La créatrice de ce projet, Grace Choi, nous raconte que son imprimante utilise les mêmes bases d’ingrédients que l’on trouve dans les produits cosmétiques conventionnels. Rassurez vous donc, pas la peine de faire appel à des cartouches d’encre pour vous refaire une beauté! Ayant de sérieuses ambitions quant à l’avenir de sa machine, Choi a ouvertement déclaré vouloir damner le pion aux grandes marques de cosmétique en proposant un moyen de se maquiller à moindre cout, surtout quand l’on voit le prix parfois exorbitant de certains produits disponibles en grande surface ou magasin spécialisée.

Les informations concernant la Mink sont pour l’instant assez minimes mais on sait d’ors et déjà que le public visé sera les 13-21 ans tandis qu’un éventuel partenariat avec le géant de l’impression Epson pourrait aider à une commercialisation prochaine de l’imprimante. Il vous faudra donc être encore un peu patient avant d’envoyer l’ensemble de votre maquillage à la poubelle!

avr 09

Micro : l’imprimante 3D qui fait parler d’elle

 

Plus les jours passent et plus l’impression 3D semble être à la portée du premier venue. En effet, alors que les plus réticents argüaient que l’impression en relief coutait bien trop cher, l’arrivée prochaine de la Micro 3D leur fera sans doute revenir sur leur jugement.

La campagne menée sur Kickstarter parle d’elle même. En effet, alors les concepteurs espéraient engranger près de 50 000 dollars histoire de mener leur projet à bon port, le compteur s’est envolé en quelques heures seulement, explosant leurs attentes en atteignant la somme d’un million de dollars! Le pactole est toujours en train d’augmenter mais avec ce succès hors normes nous sommes quasiment certains de voir débarquer cette petite machine incessamment sous peu!

D’aucuns seraient tenter de savoir ce qui attire tant chez la Micro (ou M3D pour les intimes ). Comme dit plus haut, cette nouvelle imprimante se veut être un appareil accessible au niveau du prix. Les 250 premiers acquéreurs pourront ainsi en profiter au tarif de 145 euros avant qu’elle ne soit disponible pour 180 euros par la suite. A ce prix là, difficile en effet de résister.  Loin de se résumer à son tarif, la M3D compte également sur ses capacités pour attirer le public. Elle sera d’une part compatible avec la majeure partie des systèmes d’exploitation du marché et permettra l’utilisation de différents types de filaments ( ABS et PLA par exemple).  Détail non négligeable, cette imprimante 3D aux lignes épurées se targue d’être la plus silencieuse du marché. Avis aux personnes souhaitant imprimer en toute quiétude!

Gageons que le succès rencontré sur Kickstarter devrait inciter d’autres têtes pensantes à tenter leur chance! Rappelons néanmoins que certains projets sont peut être sortis haut la main du financement participatif tandis que d’autres n’ont pas eu cette chance. Quoi qu’il en soit, la M3D risque bien assez vite de débarquer de manière spectaculaire dans nos bureaux!

avr 07

Origo : une imprimante pour les plus jeunes

 

Même si les imprimantes seraient au premier abord l’apanage des adultes, ces petites machines peuvent tout autant faire le bonheur des enfants! Avec la démocratisation des imprimantes 3D, il n’aura pas fallu attendre très longtemps avant de voir débarquer des concepts ciblant non pas des employés de bureaux mais des utilisateurs hauts comme trois pommes.

Avec son design tout en bonhommie et ses couleurs vives et chatoyantes, Origo aurait ainsi de fortes chances de faire plaisir à votre bambin. Spécialement conçu pour les enfants de dix ans ou plus, cette belle imprimante  permettrait ainsi de créer moult objets de manière très simple et ludique via une interface très accessible. Après une heure d’attente, votre objet serait ainsi prêt à être utilisé, pour le plus grand bonheur de votre enfant. Imaginez que le dernier jouet que vous achèteriez pour votre progéniture soit une imprimante! Vous pourriez ainsi développer l’imagination de celle-ci tout en vous épargnant un arrachage de cheveux intempestif lorsque viendrait le moment de faire la liste des cadeaux pour Noel.

Cette petite merveille, conçue par deux chercheurs du nom de Artur Tchoukanov and Joris Peels, était bien parti pour débarquer sur nos bureaux (avec un prix de vente qui aurait avoisiné les 650 euros) mais la recherche de fonds pour une commercialisation  effective n’aura semble t-il pas portée ses fruits et l’Origo est pour le moment cantonné aux projets avortés.

C’est d’autant plus dommage que cette imprimante résolument attractive aurait fait le bonheur des petits (voir même des grands). Néanmoins, l’actualité de l’impression en relief est tellement vivace qu’on devrait entendre parler d’un nouveau concept d’imprimante pour enfants dans les mois à venir. A moins que l’Origo ne fasse un comeback inattendu!

avr 03

Des étudiants transforment une imprimante 3D en machine à tatouer

 

Après la cuisine et la salle d’opération, on se prend à se demander quelle autre corps de métier l’impression 3D va investir. Il semblerait que les salons de tatouage soient les prochains à voir atterrir chez eux ce nouveau mode d’impression!

A y réfléchir ce n’est pas très illogique, les tatoueurs faisant appel à de l’encre pour appliquer le dessin ou motif de leur choix à leurs clients. Néanmoins, ce ne sont pas des tatoueurs mais une bande d’étudiants qui ont réussi à détourner une imprimante de son usage habituel en la transformant en machine à tatouer. Les cinq petits malins, issus de l’ENCSI ( Ecole Nationale Supérieure de Création Industrielle d’Ingénieurs ) ont ainsi bidouillé la machine et c’est l’an dernier lors d’un salon se déroulant à Paris  (salon qui invité justement les gens à proposer des version détournées de machines déjà existantes) que la bande de Géo Trouvetou ont expérimenté leur création.

Au-delà du plaisir même du détournement, les cinq jeunes voulaient surtout étudier le rapport qu’entretien l’homme à la machine ainsi qu’aux différentes modes régissant notre société actuelle. Ainsi, leur imprimante remaniée  a généré son petit buzz au salon, allant même jusqu’à interpeler la ministre de la culture qui n’a pas manqué de s’y prêter au jeu en se faisant apposer un tatouage numérique.

 

Si les étudiants n’ont nullement l’intention de commercialiser leur invention (pensant plutôt mettre les plans de la machine sur Internet, sous réserve), ils viennent néanmoins d’ouvrir une nouvelle voie à l’impression 3D, ajoutant une nouvelle fonctionnalité à la liste déjà longue de l’appareil.  De là à ce qu’une Makerbot remplace les tatoueurs dans les salons…

avr 02

Les Fabcafés font leur entrée en Europe

https://www.encros.fr

Après les cybercafés, on risque bientôt de voir débarquer les Fabcafés dans tous les coins de rue! En effet, alors que l’impression 3D étend petit à petit son hégémonie, quoi de mieux pour inciter le grand public à s’y intéresser que de mettre une belle imprimante à sa disposition. C’est là que ces cafés nouvelle génération entrent en jeu.

C’est la belle ville de Barcelone qui a ainsi inauguré le premier Fabcafé d’Europe, proposant ainsi aux usagers de faire imprimer divers objets pour des prix allant de 8 à 30 euros.  La patronne des lieux espère ainsi démocratiser l’impression 3D en proposant aux usagers de faire imprimer bijoux et autres objets en tout genre au gré de leurs envies. Non content de proposer des impressions “conventionnelles”, le fief du barca a également accueilli entre ses murs la Foodini, la future imprimante favorite des gourmands! Présente dans la ville depuis l’an dernier, la Foodini régale petits et grands avec ses différentes créations culinaires allant du hamburger aux petits gâteaux!

Alors que d’autres pays comme le Japon ont adopté depuis un certain temps ce nouveau type d’établissement, le vieux continent semble enfin prêt à accueillir ce déferlement en trois dimension. La France de son côté semble petit à petit embrasser cette technologie, les petites starts-up commençant à fleurir un peu partout tandis que la Poste avait récemment lancé une campagne visant à familiariser le grand public à l’impression 3D.  On attend désormais avec impatience la première ouverture d’un Fabcafé dans l’Hexagone histoire d’aller à noter tour siroter un café tout en faisant imprimer notre bibelot favori!

mar 28

Wyatt : un nouvel arrivé dans le monde de l’impression 3D

 

Alors que que le géant de l’impression Hewlett Packard s’apprête à faire sa grande entrée dans le monde de l’impression en relief, les petits nouveaux se pressent toujours  au portillon pour avoir leur part du gâteau et c’est désormais 3D Pioneer Systems, une petite boite basée dans le Nevada, qui se lance dans la bataille en proposant son nouveau bébé.

La Wyatt va donc essayer de faire la nique aux Makerbots et autre Printrbot avec ses atouts qui semblent  à première vue des plus intéressants. Outre le design de l’imprimante qui se veut à la fois sobre et résolument futuristes, celle-ci devrait comporter tout l’attirail faisant l’attrait des imprimantes actuelles. La Wyatt mise en effet beaucoup sur la connectivité en proposant par exemple aux possesseurs de Smartphones et de tablettes la possibilité d’imprimer directement via leur appareils, le tout grâce à un système de Cloud printing spécifique à la machine, l’Appaloza.
Vous pourrez également gérer toutes vous impressions directement à partir de l’Appaloza, sans jamais avoir par exemple à brancher votre ordinateur à l’appareil ou a y mettre une carte SD contenant un fichier quelconque.

L’imprimante se dotera également d’une pléthore de petites subtilités aptes à satisfaire le plus exigeant des utilisateurs. Vous voulez savoir quand votre objet imprimé sera disponible? Votre imprimante vous enverra automatiquement un email pour vous prévenir! Mieux encore, celle-ci pourra se mettre en pause si jamais elle se retrouve en rade de filaments ( tout en vous prévenant un fois de plus par email) .
Cerise sur le gâteaux, les têtes pensantes derrières la Wyatt ont même conçu un revêtement spécial pour le plateau d’impression, empêchant l’objet imprimé de glisser hors du socle pendant ou après l’impression.

Aune date de sortie n’est encore prévue pour la Wyatt mais il est possible de s’inscrire sur le site de la marque afin de se tenir au courant de l’évolution de la petite bête.

mar 27

Chocabyte : l’imprimante pour les fondus de chocolat

 

Vous aimez les imprimantes 3D? Vous aimez le chocolat? Cela tombe bien, nous avons quelque chose ici qui devrait vous plaire! Les plus gourmands d’entre vous ne sont pas sans savoir que l’impression en relief fait depuis longtemps bon ménage avec les aliments et la Chocabyte vient nous rappeler que cette idylle hors norme n’est pas loin de s’arrêter!

On vous aurait sans doute rigolé au visage il y a quelques années de cela si vous aviez évoqué le fait d’utiliser une imprimante pour faire du chocolat. Avec la Chocabyte ce sera non seulement possible mais vous pourrez également le faire à petit prix! Cette nouvelle forme d’impression qu’est l’impression 3D reste à bien des égards une technologie peu accessible du fait de son prix parfois exorbitant mais cette imprimante pour accros au cacao vient bouleverser la donne  en proposant un prix de vente de 70 euros! Rien de plus!

Avec un tarif pareil, il faut cependant pas s’attendre à un foudre de guerre mais l’essentiel est là. Il vous sera ainsi possible d’imprimer divers objets en vous servant des modèles qui seront présents sur la banque de données de la marque. Vous laisserez ensuite le logiciel de la machine faire le reste et vous pourrez donner vie à vos créations chocolatières! Qui dit imprimante dit cartouches et il vous faudra également des cartouches remplies de chocolat pour parfaire vos opérations (leur cout devrait avoisiner les dix dollars seulement pour quatre cartouches).

choc

Vous avez envie de vous régaler avec votre imprimante? Nous vous conseillons de faire vite car seuls 500 exemplaires sont pour le moment en vente mais qu’on se rassure, les mois qui suivent devraient voir apparaitre d’autres exemplaires afin de satisfaire tout les gourmands de la planète!

mar 20

Impression 3D : HP entre dans la danse

 

Il ne se passe pas un jour sans qu’une petite start-up ne vienne dévoiler au monde son imprimante 3D qui va de sa petite innovation , imprimant des spaghettis, des pizzas et autres armes à feu. Devant cette manne divine qu’est l’impression en relief, les grandes marques semblaient pour l’instant en retrait, tâtant timidement le terrain en attendant de mettre définitivement les pieds dans le plat! C’est ce que s’apprête à faire le géant de l’impression HP après une annonce faites cette semaine.

Bien que se popularisant à vitesse grand V , les imprimantes 3D sont encore faillible et la firme américaine vient d’annoncer en toute simplicité qu’elle avait résolu deux des problèmes majeurs de ce nouveau type de machine, à savoir la vitesse d’impression évoquant selon Meg Whitman, l’une des dirigeants de HP, la fonte des glaces. L’autre problème serait toujours selon elle la précision et la qualité du produit fini qui pêche encore en terme de rendu après impression.
Cela voudrait-il dire qu’HP se prépare à enfin s’inscrire dans le landerneau des fabriquants d’imprimantes 3D?

Il serait un peu trop tôt pour faire ce type d’affirmation car la véritable annonce concernant le futur de HP se ferait en juin. La firme compte ainsi dévoiler ses plans pour l’avenir dans quelques mois, même si quelques indices lâchés par les dirigeants laissent entendre que ce seront les entreprises qui en profiteront dans un premier temps (en recevant des produits déjà  imprimés par exemple). La firme a en tout cas du retard a rattraper mais renifle de plus en plus les bénéfices qu’elle pourrait se faire dans les années (la marché pourrait selon ses estimations générer près de 11 milliards de dollars en chiffre d’affaire aux alentours de 2021)

 

Tous les regards sont en tout cas tournés vers le mois de juin où HP dévoilera enfin son plan de bataille. Les petites entreprises déjà bien présentes sur le marché risquent-elles de mordre la poussière avec l’arrivé d’un des leadeurs du marché des imprimantes? Réponse très bientôt!