avr 13

La M5 3D : l’imprimante 3D en passe de devenir culte

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Au fur et à mesure que les imprimantes 3D sortent, elles se dotent à chaque fois de nouvelles spécificités aptes à décider le quidam à enfin faire le premier vers cette nouvelle forme  d’impression. C’est un peu ce que cherche Ankermake à faire avec son imprimante.

Il est vrai que certaines spécificités des imprimantes 3D peuvent rebuter le quidam, avec notamment une certaine complexité au niveau du montage ou une vitesse d’impression risquant de faire fuir les plus téméraires.

La M5 3D, le nom de l’imprimante, se targue en effet d’être plus rapide que l’imprimante de base, avec la possibilité d’aller 5 fois plus vite que d’habitude. De quoi donner le sourire à ceux n’étant pas patient. Outre la vitesse, l’imprimante se veut extrêmement précise au niveau des finitions, grâce notamment à des stabilisateurs et des algorithmes d’impression particulièrement poussés.

Toujours au niveau des spécificités jouant en la faveur de l’imprimante, celle-ci dispose d’une camera avec un système de reconnaissance, permettant à l’appareil de comparer l’objet imprimé ainsi que le modèle en temps réel pour voir que l’opération se déroule sans anicroche. Vous pourrez même diffuser les sessions d’impression en direct sur les réseaux sociaux si le cœur vous en dit.

Vous pourrez également contrôler votre machine à distance grâce à l’application dédiée, vous permettant ainsi d’avoir des informations en temps réel sur l’état de vos impressions. A noter que le montage se voudra également très facile, afin de vous assurer une prise en main des plus rapides.

Les avantages de l’imprimante de Ankermae auront semble-t-il interpellé les utilisateurs, il suffit pour cela de jeter un coup d’œil à la campagne de crowdfunding qui a déjà accumulé plus de 5 millions d’euros pour un objectif de 46000 euros.

Un succès monstre qui nous montre que l’impression 3D attire toujours autant, surtout qu’elle devient désormais de plus en plus accessible. A noter que l’imprimante aura un prix de départ de 499 dollars voire 759 dollars en prix définitif. Le prix à payer en somme pour toucher à l’excellence.

                             

sept 29

L’impression de maisons en 3D en plein essor

 

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L’impression 3D est depuis longtemps sortie de son statut de simple gadget pour inventeur d’un jour pour acquérir le rôle d’appareils visionnaires aux possibilités infinies. Qui pouvait ainsi prédire que les imprimantes allaient un jour venir en aide aux populations sans le sou de certaines contrées ?

C’est ce qui arrive actuellement dans une région du Mexique, dans la périphérie de Nacajuca, ou des imprimantes sont en train de mettre sur place des maisons entièrement imprimées. C’est ainsi que de nombreuses personnes pourront acquérir un logement autrement plus spacieux et confortable, à l’image de Pedro Garcia Hernandez, un charpentier de 48 ans désormais possesseur d’une maison imprimée flambant neuve.

C’est une organisation à but non lucrative nommée Nouvelle Histoire qui est à l’origine de ce beau projet. Cette association, basée à San Francisco, a pour but de mettre en place des solutions de logement à des communautés vivant dans des conditions de pauvreté avancée. L’organisation s’est associé pour l’occasion à une société de logements sociaux, Echale, ainsi qu’une entreprise se spécialisant dans les technologies de construction basée au Texas.

Pour ce qui est de la méthodologie utilisée pour imprimer les maisons, c’est une imprimante de type Vulcan II qui a été utilisée. Outre les maisons, d’autres infrastructures tel un supermarché ou une librairie sont dans les starting block.

Les imprimantes 3D sont plus que jamais au cœur de l’actualité. La pandémie de COVID19 a par exemple démocratisé la création d’ustensiles tels des masques ou des pièces de respirateur par impression. A titre d’idées, on parle d’un marché pesant dans les 55,8 milliards de dollars d’ici 2027. Un joli succès pour une technologie aussi avant-gardiste.

 

                             

sept 11

Le boeuf Wagyu se fait imprimer en 3D

 

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Imprimer les mets les plus délicats de la planète ne semble plus être qu’un fantasme de science-fiction pour amateurs de Star Trek. En effet, cela fait depuis quelques années que les imprimantes rivalisent d’ingéniosité pour mettre au monde des plats divers et variés, allant de la pizza en passant par les pâtes.

Les amateurs de viande rouge seront ravis (ou pas) de savoir que l’une des viandes les appréciées au monde, le boeuf  Wagyu, est devenu le nouvel aliment à être passé par la case impression, grâce à une équipe de chercheurs nippons. Pas question ici de tuer un animal mais de cultiver des cellules-souches avant de faire appel à de la bio-impression.

La mise en avant d’une telle technique présenterait deux avantages. La première serait d’ordre écologique. L’élevage de masse est en effet l’une des causes majeures de la pollution sur Terre, cette industrie générant près de 14,5% des gaz à effet de serre. Une baisse drastique de ce type d’élevage aurait ainsi un effet plus que bénéfique sur notre planète.

Le second avantage serait plus d’ordre culinaire et diététique. Pour ceux qui ne le savaient pas, le boeuf Wagyu est connue pour son goût dextrement fondant, causé par son persillage très marqué. Passer par l’impression permettrait de mieux gérer la présence de gras pour ceux voulant garder leur ligne.

Petit détail supplémentaire et non des moindres, passer par l’impression 3D pour créer cette viande la rendrait de ce fait beaucoup plus accessible au grand public. Une nouvelle qui devrait ravir les gourmets amateurs de viandes savoureuses !

 

                        

août 20

Impression et COVID19 : le bilan un an plus tard

Workspace with a blank paper on a wooden table next to a printer machine, selective focus, copy space

Plus d’un an après le début de la pandémie de COVID, le secteur de l’impression aura été l’un des secteurs ayant le plus « profité » de cette crise, le mode de travail de nombreuses personnes s’étant vu modifié, faisant du télétravail leur nouveau mode d’opération.

Ainsi, le nombre d’achat de cartouches d’encre a considérablement augmenté, mais pas que. La demande d’imprimantes a logiquement suivi la même courbe, une compagnie telle que Brother ayant par exemple vu ses ventes d’imprimantes laser monochromes augmentées de 30% durant la période d’avril à juin 2020. Idem pour les imprimantes laser couleur, bénéficiant d’un boost de 42% au niveau des ventes.

Outre les hausses de vente, l’utilisation même des imprimantes semble changer, les utilisateurs se tournant plus vers les options plus écologiques / économiques en privilégiant le recyclage et la réutilisation de certains éléments.

Paradoxalement, l’utilisation des feuilles a grandement baissé durant l’année passée. On aurait ainsi enregistré une baisse d’impression de 14% durant l’année 2020, après des années de baisse constante mais moins radicale. Selon les recherches de l’IDC ( International Data Corporation), « seules » 2,8 trillions de feuillées ont été imprimées l’an dernier.

Selon Illona Stankeova, de la branche européenne de l’IDC Europe, le fait que les gens aient plus imprimé chez eux ont bien entendu ralenti le nombre de feuilles utilisées dans les bureaux. Cela dit, un rebond est à prévoir, avec près de 4,4 millions qui seront imprimées chaque minute en 2025, ce qui équivaudrait à 39 terrains de football remplit chaque minute.

Entre vente en hausse et déclin, l’impression aura connu une année assez étrange. A voir désormais que réservera l’avenir pour ce secteur.

 

                          

juil 22

Un bug vieux de 16 ans menace les imprimantes

 

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Des chercheurs ont récemment découvert qu’une menace mettant en péril le bon fonctionnement des imprimantes vient de pointer le bout de son nez. Non content de perturber le bon fonctionnement des imprimantes, ladite menace serait active depuis près de 16 ans désormais, sans que personne ne s’en soit jamais aperçu.

Selon SentinelOne, qui a fait éclater la vérité au grand jour, ce sont ainsi des millions d’appareils qui auraient été infecté, notamment des imprimantes de la marque HP, Xerox mais aussi Samsung.

La menace, baptisée CVE-2021-3438, se présente comme une vulnérabilité de débordement de tampon qui pourrait être exploitée dans une attaque d’escalade des privilèges d’un utilisateur local.

Ainsi, à partir du moment où le bug est présent dans le driver, bug qui sera d’ailleurs chargé automatiquement par Windows, la menace sera belle et bien concrète, sans que l’imprimante ne soit connectée au périphérique ciblé. Cela dit, la seule manière d’utiliser ce bug à des fins malveillantes, les hackers doivent avoir un accès utilisateur au système contaminé par la menace.

.Selon Asaf Amir, responsable à SentinelOne, il n’y a pas de signes majeurs quant à une exploitation massive par des personnes malintentionnées de ce bug. Néanmoins, toujours selon le responsable, avec des centaines d’utilisateurs actuellement vulnérables, il est quasi certains que des hackers chercheront à exploiter cette faille du mieux qu’ils le peuvent.

Récupérer un patch depuis le site des constructeurs demeure à ce jour l’une des solutions les plus efficaces pour ne pas être victime de ce bug.

 

                            

juil 05

Une école imprimée voit le jour au Malawi

 

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L’impression de bâtiments n’est plus vraiment une surprise depuis quelques années. En effet, cette forme d’impression permet désormais de créer des habitats, et certains ont profité de cette nouvelle technologie à des fins aussi créatives qu’éducatives.

C’est en effet de cette manière que la première école imprimée au monde a vu le jour. C’est au Malawi que ce petit exploit a eu lieu, avec l’aide de la société danoise Cobod internationale. Pour information, cette dernière est à l’origine des premiers bâtiments imprimés en Europe, bâtiments comptant plus d’un étage. Il n’aura fallu que 18 heures pour donner vie à l’école et à l’heure où nous écrivons ces lignes, les élèves sont déjà en mesure d’y suivre des cours.

Le Malawi, et l’Afrique en général, souffre d’un grave déficit d’écoles et ce procédé pourrait vraiment changer la donne. A ce titre, ce sont près de 36000 salles de classe qui manqueraient dans le pays et construire des salles de classe de manière conventionnelle prendrait près de 70 ans. En comparaison, il suffirait de seulement 10 petites années pour offrir des écoles imprimées à tout le pays.

Le fondateur de Cobod, Henrik Lund-Nielsen, s’est réjoui de ce premier exploit, celui-ci arguant que ce genre d’impression avait le vent en poupe et que d’autres applications pourraient voir le jour au travers de cette technique d’impression.

Outre les bâtiments, rappelons que les imprimantes 3D ont souvent aidé des personnes victimes d’accidents ou autres, sans compter leur précieux apport durant la récente pandémie du COVID19.

 

                          

juin 07

Coronaspresso : le café et l’impression 3D contre la COVID

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Savez-vous qu’il était possible de faire des tests de dépistage du COVID en s’aidant de capsules de café, avec un petit coup de pouce de l’impression 3D ? Cette question peut sembler cocasse et pourtant, un chercheur œuvrant aux Pays-Bas, à l’université de Wageningen plus précisément, a proposé cette idée, nommée Coronaspresso.

Pour la mise en place de cette dernière, il a simplement utilisé une capsule de café en aluminium afin de la transformer en réacteur chimique. Il a ajouté à tout cela un petit support en plastique, entièrement imprimé en 3D, afin de contenir les tubes nécessaires à la réalisation des tests.

Le scientifique en question, Vittorio Saggiomo, s’était ainsi posé la question vis-à-vis des PCR, jugeant qu’à l’heure actuelle ils devaient être bien plus accessibles et peu cher, tout en garantissant une efficacité certaine. Ainsi, son procédé nécessite que l’extrait de salive soit réchauffé tandis que des indicateurs de pH se chargeraient de dire si la COVID est présente. Simple, rapide et efficace. La capsule de café sera quant à elle utile du fait de sa capacité à être plongée dans de l’eau bouillante sans aucun problème.

Outre la simplicité d’utilisation, Saggiomo a également fait ressortir que ce procédé ne génèrerait pas vraiment de déchets indésirables, sans compter que le plastique imprimé pourra être biodégradé.

Cette solution on ne peut plus pratique et peu couteuse (que 20 centimes par élément à produire) pourrait être une excellente alternative aux tests actuels. Le scientifique espère déjà que ce procédé connaisse une production massive dans les temps à venir.

Rappelons que de nombreuses innovations liées à l’impression ont vu le jour durant la pandémie, entre les visières imprimées et autres pince-nez en 3D.

 

                               

mai 20

Forust 3D : l’impression du bois devient écologique

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La protection des forêts est devenue au fil des années l’un des chevaux de bataille de ceux luttant pour la protection de l’environnement. Alors des centaines d‘hectares disparaissent chaque jour, des scientifiques ont décidé de jouer la carte de l’impression écologique en mettant au point un système permettant d’utiliser le bois de manière intelligente tout en limitant l’impact environnemental.

Créé par Andrew Jeffery et une équipe de chercheurs de Desktop Metal , ce nouveau système d’impression se nomme Forust et utilise de la sciure fine pour imprimer des objets en 3D ressemblant de façon frappante à de véritables objets en bois. Selon Jeffery, depuis que le projet est né il y a quelques années, le projet était dès le départ d’utiliser la sciure de bois pour créer des produits en bois de manière durable, donnant ainsi naissance à Forust.

Le système fonctionne de manière similaire à une imprimante à jet d’encre et projette un liant sur une couche de sciure de bois. L’objet sortira alors du lit de sciure de bois et, une fois terminé, celui-ci pourra être poncé pour une finition optimale.  Ce procédé pourrait à l’avenir se rependre considérablement, tant les possibilités qu’offre cette nouvelle manière d’imprimer sont illimitées. Ainsi, divers secteurs pourraient se pencher sur les capacités de Forust, comme les créateurs de meubles mais aussi celui de l’automobile ou du design de manière globale.

L’impression étant depuis très longtemps critiquée en raison des ravages causés par ses consommables d’impression, nous avons pu voir fleurir depuis peu de nombreux projets démontrant qu’imprimer ne rimait pas forcement avec polluer.

 

                          

mai 10

Un autotest imprimé pour COVID-19 voit le jour en Belgique

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Avec la pandémie du COVID 19 ayant frappé la planète, il est devenu impératif de nos jours de savoir si nous sommes infectés ou pas, et le tout le plus rapidement possible. C’est dans cette optique qu’une équipe de chercheurs de l’université de KU Leuven, en Belgique, a mis au point un autotest imprimé offrant des résultats en un rien de temps. Une nouvelle preuve que l’impression 3D s’est posé en allié efficace dans la lutte contre cette pandémie.

Les autotests étant autorisés dans le pays depuis mars, c’est ainsi la période rêvée pour offrir cette solution aux gens. Le mode opératoire sera des plus simples. A l’aide d’un coton-tige, un échantillon est récupéré depuis le nez du patient avant d’être dissous dans le test. Un anticorps entrera alors en contact avec l’échantillon et une ligne de couleur vous signalera si infection il y a ou pas. Pour ce qui est de l’impression même du test, les chercheurs ont utilisé du polymère poreux avec des encres spéciales intégrées en des points spéciaux.

Cela reste bien entendu un test basique ne remplaçant pas les examens plus poussés, mais l’équipe planche déjà sur un processus proposant encore plus de possibilités.

A ce titre, ladite équipe est en train de mettre au point sa propre imprimante 3D pour l’opération, qui serait plus facile à utiliser que celle actuellement en action. Selon Bart Van Duffel, une imprimante optimisée serait encore plus efficace au niveau des diagnostics, sans compter qu’elle pourra imprimer d’autres types de tests avec d’autres designs et l’encre adéquate.

A voir désormais si ce procédé va se démocratiser et permettre à des centaines de personnes d’avoir un gain de temps des plus précieux.

                   

                         

mar 25

COVID-19 : le boom des ventes d’imprimantes en France

 

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Il va sans dire qu’avec le contexte actuel, notre manière de consommer a particulièrement changé. Nombre d’entre nous ont observé une belle hausse au niveau des achats de papier toilette et de pâtes, mais d’autres secteurs ont également connu une hausse spectaculaire de leurs produits.

Le secteur informatique a connu un boom sans précédent, notamment au niveau des consoles de jeux, mais aussi des imprimantes.

En effet, comme nombre de Français se retrouvent actuellement coincés chez eux, avoir de quoi imprimer est devenu presque vital. L’une des causes étant, parmi autres choses, le besoin d’attestations de déplacement dérogatoire. Ce papier signé, devenu un véritable graal pour l’ensemble du pays, se doit d’être imprimé à chaque sortie pour raison valable. Nous vous invitons d’ailleurs à voir notre article dédié aux personnes souhaitant obtenir l’attestation alors qu’ils ne possèdent pas d’imprimantes.

Autre raison pour laquelle nos fameux appareils rencontrent un tel succès : le télétravail. Les autorités ont ainsi encouragé les personnes, dans la mesure du possible, à travailler depuis chez eux, ce qui implique parfois d’imprimer de nombreux documents.  De nombreux parents sont également confinés à demeure et afin d’occuper leurs enfants, tant sur le plan scolaire que ludique, ils ont parfois besoin de polycopiés et autres dessins.

Une belle aubaine pour les constructeurs d’imprimantes et de cartouches d’encre, qui ont vu leur chiffre d’affaire augmenter au fil des jours. Mieux encore, le site Amazon aurait découvert que le terme « imprimante » était le sixième plus recherché, passant devant les masques de protection, le gel hydro alcoolique, le papier-toilette ainsi que les gants jetables.

En cas de cartouches vides, n’oubliez pas qu’il est toujours possible de les recharger afin d’éviter d’en acheter encore et encore !