mar 30

Xerox prépare sa nouvelle gamme d’imprimantes

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Les débuts d’années sont souvent propices aux annonces venant de la part des constructeurs et Xerox ne déroge pas à la règle avec l’arrivée prochaine de sa nouvelle ligne d’imprimantes.

Ces dernières seront divisées en deux catégories : les VersaLink et les AltaLink. La gamme VersaLink est conçue pour répondre aux besoins des petites entreprises et comprendra pas moins de 19 imprimantes dont des multifonctions. AltaLink, de son côté, offre 10 imprimantes MFP supplémentaires orientées vers les impressions plus volumineuses. Dans les deux cas, Xerox a déclaré qu’il y avait une solution pour pratiquement n’importe quel contexte, que ce soit pour un petit bureau ou une vaste entreprise.

Toutes les imprimantes offrent également une variété de fonctionnalités de sécurité pour protéger les données et éviter toute intrusion extérieure.

Des écrans tactiles rappelant les tablettes seront intégrés aux imprimantes, permettant à l’utilisateur de configurer la machine à sa guise. À noter également qu’il sera possible de se connecter aux services de Cloud les plus connus.

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Enfin, Xerox a décidé d’ouvrir son système d’exploitation à des développeurs d’applications tiers. Selon les responsables, cela ne voudra pas forcément dire que vous pourrez jouer à Angry Birds sur votre imprimante, (même si on peut jouer au jeu Doom sur les Canon Pixma ) mais cela devrait aider à la création et la gestion d’éléments tels que les dossiers médicaux des patients, des contrats immobiliers, des factures etc..

Deux imprimantes VersaLink sont déjà en cours d’expédition, et la gamme complète des modèles VersaLink et AltaLink devrait être disponible au cours du premier semestre de 2017.

mar 29

L’impression 3D fait revivre une voiture vieille d’un siècle !

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Le monde de la restauration automobile est loin d’être une sinécure, surtout quand on sait que plus le véhicule n’est vieux, plus le travail est compliqué. Difficile ainsi de retrouver certaines pièces qui ne sont plus produites depuis des lustres.

Néanmoins, grâce à l’impression 3D, faire revivre de vieilles voitures ne devrait plus être un souci. Stuart Murdoch, le propriétaire australien d’une voiture modèle Delage Type-S de 1914, la dernière à exister, a réussi récemment à insuffler une nouvelle vie à son précieux bolide avec l’aide d’une imprimante nouvelle génération !

Il y a quelques années, Murdoch a remarqué que de l’eau sortait de l’échappement, symptôme d’un problème bien plus grave. Selon l’ingénieur Grant Cowie, la création d’un morceau de bloc de remplacement en utilisant la méthode habituelle aurait été extrêmement difficile.

Ni une ni deux, Murdoch s’est alors tourné vers l’impression 3D. Avec l’aide du designer industriel Philip Guilfoyle et des imprimantes 3D du CSIRO de Melbourne, le bloc nécessaire à la réparation a été scanné avant d’être imprimé. Du coup, la voiture a pu reprendre la route, comme au premier jour !

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Pour information, Delage était un fabricant français de voitures de luxe et de course durant la première moitié du XXe siècle. Le modèle Type-S a participé à son premier grand prix à Lyon en 1914 mais un mois plus tard, la Première Guerre mondiale a éclaté, mettant les courses du Grand Prix en stand-by.

Le monde automobile a déjà adopté ces imprimantes nouvelle génération depuis longtemps, des marques comme Peugeot courtisant même l’impression 3D pour ses voitures. À voir désormais si l’on pourra recréer de vieux modèles en utilisant ce type de technique !

mar 27

3DPrintClean : l’imprimante 3D qui vous permet de respirer

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Il ne faut parfois pas baisser les bras quand un projet se casse les dents lors d’un financement participatif. En effet, le projet 3DPrintClean, un concept d’imprimante 3D visant à bloquer les émissions de particules néfastes durant l’impression, n’avait su générer suffisamment de buzz durant sa campagne. Son concepteur, James Nordstrom, n’a cependant pas lâché l’affaire, n’hésitant pas à sortir son imprimante contre vents et marrées.

Résultat, un beau succès pour cette machine promouvant l’impression verte, celle-ci ayant rencontré un certain plébiscite dans les universités, les librairies et tous les lieux souhaitant garder une atmosphère aussi conviviale que respirable. À noter que même des compagnies comme Samsung ont adopté la 3DPrintClean.

Désormais, l’imprimante a fait son petit bonhomme de chemin et une version 3.0 est d’ores et déjà en route. Selon Marc Hulswit, responsable marketing, la nouvelle version de l’imprimante est la résultante d’un long processus où les têtes pensantes ont pris en compte toutes les doléances des utilisateurs afin d’améliorer la machine.

Bilan des courses : le modèle numéro 3 comportera un filtre plus large et plus durable que son prédécesseur, ainsi que d’autres options permettant de déshumidifier le PLA et des écrans pour contrôler la température interne et le taux d’humidité. Mieux encore, l’imprimante intègre également un système anti-incendie, si jamais le feu se déclenchait pendant l’impression.imprimante-verte

Alors que la question du danger de l’impression 3D pour notre santé commençait à se rependre, il est bon de voir que certains pensent avant tout au bien-être des utilisateurs et non à la puissance de feu de leur appareil !

mar 25

La plus grande imprimante métallique au monde arrive !

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Toujours plus grand ! On trouve désormais des imprimantes de taille très respectable, capables d’imprimer des gros objets, tandis que certains pays adoptent les imprimantes 3D pour leurs bâtiments. Les têtes pensantes vont désormais plus loin avec ce qui s’annonce comment étant la plus grande imprimante métal au monde !

 

C’est en Afrique du sud que se développe un projet du nom d’Aeroswift depuis 2011. Le but de ce projet est simple : mettre au monde une imprimante capable d’imprimer des pièces d’avion à partir de titane en poudre. Actuellement, la plus grande imprimante de ce genre est la XLine de Concept Laser, un mastodonte qui se décline en 5 exemplaires dans le monde. Pour information, la Xline est capable de fournir un volume d’impression de 800 x 400 x 500 mm mais l’Aeroswift compte bien venir changer la donne, proposant de son côté un volume de 2000 x 600 x 600 mm.

Selon Hardus Greyling,l’un des instigateurs du projet, cette machine est unique en son genre, celle-ci ayant nécessité toute une batterie de nouvelle technologies et de brevets capables d’accélérer et d’améliorer l’impression.

 

Les responsables sont déjà bien partie pour commercialiser leur bébé, d’autant qu’Airbus s’est déjà montré plus qu’intéressé par cette imprimante XXL. L’Afrique du Sud risque de faire parler d’elle au vu de sa petite création, d’autant plus que le pays est le quatrième producteur de titane au monde, derrière la Chine, l’Australie et l’Inde.

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Après les villes et les avions, on se demande désormais ce que le monde de l’impression va nous sortir comme projet dantesque. Qui vivra verra !

mar 24

Epson rajoute deux nouvelles imprimantes WorkForce à son armada.

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Encore plus vite avec Epson ! La firme a dévoilé ses nouveaux poulains : la Workforce Enterprise WF-C20590 (capable d’imprimer 100 pages par minute) et la WF-C17590 qui peut, elle, produire 75ppm. Les deux imprimantes ont été spécialement conçues pour répondre aux besoins d’impression des entreprises et des PME.

 

Les ingénieurs ont mis les petits plats dans les grands, les imprimantes possédant un certain nombre d’innovations conçues pour fournir des impressions de haute volée, tout en réduisant la consommation d’énergie de 96%.

Selon les responsables de la branche australienne de la firme, ces WorkForce représentent une véritable révolution dans l’impression de bureau. Bien plus que de simples imprimantes, ce sont de parfaites solutions permettant de gérer à la perfection les documents de tout bureau, selon leurs dires.  Les têtes pensantes ont également souligné l’aspect écologique de ces machines, tout en s’appuyant sur le nombre réduit de pièces par rapport à certaines autres imprimantes, les rendant plus faciles à gérer.

Pour ce qui est de la rapidité de ces imprimantes, c’est du côté de la tête d’impression de 44mm, capable de déposer près de 900 millions de gouttelettes d’encre par seconde sur une feuille de papier, que tout se passe. Toujours au niveau du papier, il est possible d’en faire 5 350, mais on peut également jumeler le tout avec un empileur de 4 000 feuilles par exemple, histoire d’être paré en cas de grosse impression.

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Epson rajoute une nouvelle pierre à son édifice, quelques mois après avoir marqué les esprits avec son système EcoTank. Gageons que la marque nous réserve encore quelques innovations pour les années çà venir !

mar 22

Lexmark part en guerre contre la recharge de cartouche

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Recharger sa cartouche est un geste qui permet à de nombreux utilisateurs, tous les jours, de faire des économies en adoptant une solution qui a faites ses preuves. Quand on sait que l’encre est un liquide qui vaut de l’or, c’est une belle alternative pour les professionnels et les particuliers.

Néanmoins, il semblerait que certains constructeurs commencent à considérer cette méthode d’un très mauvais œil.

C’est le cas de Lexmark, qui semble partir en guerre contre la recharge de cartouche. Selon la compagnie, l’utilisation d’encre ou de cartouches autres que les siennes représenterait une violation de copyright. Ayant porté l’affaire devant les autorités américaines, ces dernières sont cependant restées de marbre devant les complaintes de la firme, arguant que ce n’était qu’un moyen pour Lexmark de saper la concurrence de manière déloyale.

Loin de vouloir en rester là, Lexmark a décidé de revoir sa stratégie, affichant un message d’avertissement sur ses cartouches : tous ceux cherchant à revendre ou recharger sa cartouche enfreindraient la loi, quand bien même l’utilisateur aurait acheté la cartouche.

Une décision qui semblerait cette fois convenir aux hautes instances américaines, à la consternation de certains. Pour faire une analogie simple, si jamais vous étiez possesseur d’une voiture d’une marque spécifique, vous seriez obligé d’aller faire le plein dans une station-service de la marque, et rien qu’elle.

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Une telle décision aurait des répercussions assez conséquentes pour l’utilisateur, qui devrait systématiquement vérifier l’étiquette pour voir ce qu’il peut faire ou pas avec ses cartouches.

À voir désormais qu’elle sera la décision des autorités, mais gageons que cette affaire risque de faire grand bruit dans les mois à venir. Nous y reviendrons.

mar 20

L’impression 3D à la rescousse des récifs de coraux

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Environnement et impression vivent depuis longtemps une relation amour / haine. Nous avons d’un côté des cartouches s’entassant par centaines dans la nature, mais nous avons également des solutions venant redorer le blason des imprimantes.

Ainsi, l’impression 3D est en train de venir à la rescousse des récifs de coraux australiens. Une compagnie du nom de Reef Design Lab s’est donné pour mission de créer des coraux artificiels, afin de remplacer ceux ayant connu les affres du réchauffement climatique ou des étoiles de mer parasites.

Pour parer à la situation, les têtes pensantes de la compagnie ont mis au point une imprimante mobile générant des coraux avec un mélange composé de sable. Une fois la machine chargée, elle pourra alors imprimer des récifs se rapprochant au maximum des coraux, avec leurs irrégularités et leurs aspérités. Outre l’esthétisme, c’est également un moyen de leurrer la faune locale afin qu’elle ne fasse pas la distinction entre les coraux naturels et ceux imprimés.

Cette méthode d’impression, qui était en test depuis deux ans déjà, montre des signes encourageants, la faune semblant adopter ces coraux imprimés sans trop de difficultés.

Outre leur portée écologique, ces coraux pourraient aussi encourager les plongeurs à venir explorer les zones concernées, dopant ainsi le tourisme et l’économie de la région. Un beau moyen de joindre l’utile à l’agréable en somme.

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Après l’imprimante D-Shape qui avait prévu de faire des vagues au niveau de l’impression écologique, il semblerait que les machines 3D soient plus que jamais mises à contribution pour sauver notre planète. Un juste retour des choses après des années de pollution.

mar 18

Peugeot courtise l’impression 3D pour ses voitures

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Les grandes marques se rapprochent de plus en plus de l’impression 3D. Alors que Barilla veut lancer des restaurants mettant en avant ses pâtes imprimées, la firme Peugeot veut elle aussi s’essayer à cette nouvelle forme d’impression pour ses automobiles.

Cela fait quelques temps que le constructeur français a la firme Divergent 3D dans son collimateur. Cette boite américaine a à son actif le premier « supercar » imprimé qui soit. Avec son châssis entièrement imprimé, la Blade conjugue innovation et design audacieux, faisant ainsi la nique aux cadors du genre comme Ferrari ou Porsche. L’association des deux risque de donner de belles choses, même s’il faudra sans doute attendre un peu avant de voir des voitures 3D estampillées Peugeot circuler sur les routes, d’autant que d’autres constructeurs risquent aussi de s’engouffrer dans la brèche.

Pour rappel, l’impression de voiture est en train de devenir une réalité, notamment avec la Strati qui sera bientôt sur les routes.

Pour en revenir à Peugeot, cette plongée dans l’impression devrait peut-être permettre à la marque de s’octroyer une place de leader sur le marché de l’automobile en France. C’est Renault qui occupe la pole position avec 20,2% des ventes de voitures, suivi de près par Peugeot qui s’octroie 16,7% du gâteau.

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Dans un avenir que l’on imagine proche, le conducteur lambda pourra peut-être upgrader sa propre voiture en imprimant des pièces de voitures de chez lui. L’impression 3D n’a pas fini de nous étonner !

mar 17

WitBox : la première imprimante 3D fonctionnant sous Android

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L’impression 3D accueille un nouvel arrivé au sein de son écurie ! En effet, la compagnie BQ vient d’annoncer l’arrivée de la Witbox, une machine avec une jolie petite caractéristique.

L’imprimante serait ainsi la première de son genre à être compatible avec un système d’exploitation de type Android. L’utilisateur pourra ainsi téléguider l’impression depuis son Smartphone, idéal si jamais vous devez imprimer quelque chose en urgence, sans être sur les lieux. Il pourra également tout stopper à distance si jamais il y a un souci.

Au niveau des dimensions, l’imprimante joue dans la cour des petites, affichant des dimensions de 30 x 25 x 48 cm et permet d’imprimer des objets de dimension 140 x 140 x 140 mm. On y retrouve sinon les options habituelles chez les imprimantes, à savoir une connexion WIFI et NFC. Pour les personnes aimant la discrétion, la Witbox se targue d’être particulièrement silencieuse. Idéal pour ceux souhaitant imprimer sans déranger autrui.

Selon le directeur général adjoint de BQ, Rodrigo del Prado, les imprimantes 3D sont potentiellement des outils indispensables en devenir au même que les ordinateurs aujourd’hui. La Witbox Go a ainsi pour but de familiariser l’utilisateur lambda à l’impression 3D, a-t-il rajouté.

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On ignore à l’heure actuelle si l’imprimante sera en Open Source, même s’il y a de fortes chances pour que cela soit le cas, et le prix est déjà disponible. Vous devrez dépenser 599,90€ pour cet appareil « android friendly » et attendre le troisième trimestre pour vous la procurer. Outre le fait d’imprimer ce que bon vous semble facilement, les imprimantes 3D risquent de devenir un nouveau moyen de faire des économies. A bon entendeur.

mar 16

Vol de cartouches d’encre : un fléau qui a la côte

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Les utilisateurs d’imprimantes le savent pertinemment, l’encre est un liquide qui vaut de l’or. A tel point que certaines personnes n’hésitent pas à enfreindre la loi pour essayer d’en tirer profit.

Les vols de cartouches se multiplient ces derniers temps, à l’image de cet étudiant américain de 24 ans, Blake Skowron, qui s’est introduit dans son université afin d’y voler pour 2 ,000 dollars de consommables. Aidé par cela par sa propre mère, l’homme était en train de commettre son méfait quand la police a débarqué. Skworon a été inculpé pour vol, tandis que l’université estime que les dégâts s’élèvent à près de 5000 dollars.

Dans une autre affaire, c’est un véritable réseau qui a été démantelé sur certains sites de vente tels Amazon ou Ebay.

Une douzaine de suspects ont été accusés de brasser une coquette somme d’argent (on parle de 12 millions de dollars) en revendant des produits électroniques et des cartouches d’encre volées. Selon les autorités, c’est un certain Richard Rimbaugh, 64 ans, qui est à la tête de ce réseau de vente. L’homme avait à ses ordres une troupe de 11 hommes, chargée de voler des biens dans pas moins de 28 états aux USA.

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La police a confisqué plus de 5,300 éléments volés chez lui, pièces électroniques et cartouches, ainsi que 7,7 millions de dollars sur les comptes du coupable. Rimbaugh et ses sbires encourent une peine de 25 ans s’ils sont reconnus coupables.

Plus que les lingots d’or, les consommables jet d’encre attirent bien des convoitises !