mar 15

Condamnés pour avoir vendu illégalement près de 2000 cartouches !

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On reçoit parfois des appels nous venant d‘entreprise cherchant à nous vendre des cartouches d’encre. Si cela peut être utile pour certains, les abus existent également, certaines histoires faisant même froid dans le dos.

Ainsi, un couple d’agriculteurs du Queensland en Nouvelle-Zélande, les Sharp, possédant une l’imprimante jet d’encre, se sont vus forcer d’acheter assez de cartouche pour subsister…1700 ans !

En effet, plusieurs vendeurs d’une société de fournitures de bureau d’entreprise ont commencé à harceler le couple d’agriculteurs, et si madame Sharp a commencé par refuser, elle finit par céder, achetant 56 cartouches, beaucoup plus que ce qu’elle n’aurait jamais besoin.

Loin de s’arrêter en si bon chemin, les commerciaux ont continué à harceler madame Sharp, la forçant d’acheter près de 1.984 cartouches d’encre. Quand on sait que l’encre est un liquide qui vaut de l’or, on imagine bien le trésor amassé !

Totalisant près de 80.000 $ d’achat, Mme Sharp n’a pas dit son mari, et peu de temps après, l’entreprise a commencé à faire des demandes agressives pour récupérer la somme due.

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Alerté par l’affaire, le vice-président du tribunal administratif local, Ian Lulham, a déclaré que la compagnie de vente avait agi déraisonnablement en incitant la famille à acheter un tel nombre de cartouches. Selon lui, il n’est pas exagéré de dire que toute entreprise vendant plus de 2000 cartouches à une entreprise qui possédait une seule imprimante agit en toute illégalité. L’entreprise a été condamnée à payer plus de 90 000 $ aux deux victimes

A noter que le PDG de la société ayant vendu les cartouches, James Murray, est très actif sur les médias sociaux, publiant régulièrement ses frasques financées par les ventes frauduleuses de sa compagnie.

mar 09

La plus grande chaussure imprimée au monde est là !

 

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Quand on ne trouve pas chaussure à son pied, il faut parfois faire appel à des solutions innovantes, comme l’impression 3D !

A 19 ans, Broc Brown souffre du syndrome de Sotos, ou gigantisme cérébral, faisant de lui le plus grand adolescent au monde. Pas évident donc de trouver des chaussures conventionnelles, à moins de passer par la case impression. C’est une compagnie du nom de Feetz, basée en Californie, qui est intervenu pour aider le jeune homme. En effet, l’entreprise de chaussures utilise une application pour convertir des photos de pieds en modèle 3D, avant qu’une imprimante 3D ne vienne créer des chaussures en forme sur mesure.

La présidente de Feetz, Lucy Brown Beard, a ainsi livré une paire de chaussures noires et rouges la semaine dernière au domicile du jeune homme, à son grand bonheur. Petit détail et non des moindres, les chaussures étaient les couleurs de l’équipe de basket-ball préféré de Brown, les Bulls de Chicago.

Beard a déclaré n’avoir jamais fait une chaussure de cette taille, mais qu’elle était heureuse d’avoir permis à Broc d’obtenir des chaussures confortables

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Quid du prix de cette paire de chaussures imprimée ? Elle serait autour de 250 $, alors que des chaussures sur mesure coûtent généralement un minimum de 400 $ à 500 $.Avec ses nouvelles chaussures imprimées, Broc pense qu’il peut même entrer dans le Livre Guinness des Records du Monde, au même titre que ses chaussures qui sont assurément les plus grandes de leur genre.

Au rythme où vont les choses, sortir de l’ordinaire en faisant imprimer ses chaussures risque de devenir une habitude !

mar 06

Imprimez vos objets avec de la bière et du café !

 

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Quand on évoque l’impression et ses consommables, on pensera à l’encre ou au toner pour les imprimantes classiques, ou les filaments en plastique pour l’impression 3D.

L’impression en relief, justement, a permis la démocratisation de consommables parfois farfelus (métal, verre voire même des imprimantes pour amateurs de pancakes) et ce n’est pas prêt s’arrêter ! En effet, la startup 3DomFuel a décidé de recycler des «produits inhabituels» et de les transformer en filaments pour être utilisés pour l’impression 3D.

Selon John Schneider, cofondateur et directeur marketing de 3DomFuel, il est possible d’imprimer des produits 3D à partir de bière, de café et de chanvre. Le nom de leur filament : 3D-Fuel.

Schneider et son partenaire Jake Clark voulaient se différencier d’un marché inondé de filaments de plastique et ont commencé à chercher des matériaux non conventionnels en 2015. Le fondateur a trouvé une société locale, spécialisée dans le mélange des déchets agricoles avec les plastiques pour créer de nouveaux matériaux a rajouté M. Schneider. La société de production utilise, par exemple, les déchets issus des torréfacteurs locaux pour donner vie à des filaments « verts ».

Leur filament saveur café se nommée «Wound up» et est de couleur brun foncé, avec quelques taches brunes. Une jolie petite odeur torréfiée s’échappe ainsi durant le processus d’impression, s’évaporant une fois terminé l’objet terminé. Pour les amateurs de senteurs plus musclées, vous retrouverez des senteurs plus houblonnées grâce au filament nommé Buzzed, fabriqué à partir de déchets issus du processus de maltage et mélangé avec du plastique.

Si vous souhaitez imprimer de façon plus écolo, tout en parfumant les lieux avec vos odeurs favorites, vous savez ce qu’il vous reste à faire !

mar 03

Une maison imprimée construite en un temps record

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Nous avions déjà évoqué l’Apis Cor, cette imprimante mobile imprimant des maisons. Ce beau bestiau vient de réaliser un petit exploit en imprimant une maison d’une traite !

En effet, les bâtiments imprimés sont générale construit en morceaux par une imprimante, avant que les travailleurs n’assemblent le tout. Pas de ça avec l’imprimante Apis, qui a tout fait d’une traite ! , La machine a pris 24 heures pour compléter l’enveloppe du bâtiment, donnant ainsi naissance à une maison d’une jolie superficie.

Imprimer un tel objet pendant la période la plus froide de l’année en Russie n’a pas été facile. En effet, la température extérieure était de -35 degrés, mais une solution toute simple a été trouvée : une tente scellée a été placée autour du site d’impression pour garder le tout au chaud.

Le cœur de la technologie derrière l’imprimante 3D Apis est assez unique en son genre. Ressemblant à une grue de construction, l’imprimante peut être facilement transportée sur un site choisi. Lorsque l’impression sera terminée, l’imprimante pourra être soulevée hors de l’intérieur du bâtiment et le tour sera joué.

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Des touches finales sont ensuite ajoutées pour rendre la structure plus proche d’une maison : Du matériel isolant sera pulvérisé à l’intérieur des murs, un toit plat est installé, avant qu’une bonne couche de plâtre ne soit utilisé pour combler le tout.

Résultat : un intérieur de maison confortable, construite en un rien de temps, coutant « à peine » 8,000 euros. Une future solution qui risque de redéfinir le monde du BTP !

mar 03

Arrêté pour avoir essayer de vendre une arme imprimée

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Voilà que les armes imprimées refont parler d’elles ! Un homme de 27 ans, habitant Sydney a été arrêté par les autorités locales, après qu’ils aient découvert des plans chez lui pouvant servir à fabriquer des armes en relief 

Le coupable, Sun Sicen, a été libéré après une journée mais l’affaire est loin d’être terminée. La police aurait également trouvé quatre pistolets factices, deux pistolets à air comprimé, du matériel informatique ainsi que deux imprimantes chez le coupable.

Selon un des détectives chargés de l’enquête, le coupable fait face à une peine maximale de 20 ans pour la fabrication d’armes et de 14 pour possession des plans visant à imprimer des engins. La police a été prévenue des activités illicites de l’homme au travers des réseaux sociaux, où celui-ci s’est amusé à vendre ses armes pour la modique somme de $ 1 million.

Les autorités ont déclaré que les ventes d’armes en ligne étaient une «nouvelle tendance », au même titre que l’utilisation des imprimantes 3D pour créer lesdites armes. Joe Doueih, l’un des inspecteurs de l’enquête, a déclaré que la technologie d’impression était bel et bien là et qu’il suffisait d’avoir les compétences appropriées pour pouvoir se créer une arme en moins de deux.  Interrogé quant au fait d’avoir à surveiller la vente et l’utilisation des imprimantes 3D, Doueihi a affirmé que c’était mission impossible.

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Aussi pratiques que soient ces nouvelles imprimantes, c’est une preuve de plus qu’utiliser une machine inoffensive à mauvais escient peut être très dommageable. Pensez-y la prochaine fois que vous songez à imprimer des faux billets avec votre imprimante !