sept 25

Il fini en prison pour avoir imprimé une arme

 

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Depuis que les imprimantes 3D permettent la création d’armes en relief, le sujet n’a pas manqué de faire débat et controverse. Quelques cas ont fait parler d’eux, notamment la mise en ligne de plans visant à créer des armes depuis chez soi, via l’hacktiviste Cody Wilson.

Un nouveau cas vient de défrayer la chronique, celui d’un jeune anglais, Tendai Muswere , ancien étudiant en cinéma, qui vient d’être condamné après avoir imprimé une arme à feu. Alors que la police a effectué une descente chez lui, le coupable a décidé d’envoyer les composants par la fenêtre, geste qui n’allait en aucun cas jouer en sa faveur.

Il a essayé, dans un premier temps, de plaider son innocence en clamant qu’il voulait imprimer une arme pour l’un de ses films, mais l’argument n’a pas été retenu. Il a également essayé de renchérir en affirmant qu’il ne savait pas que sa création pouvait être létale, mais son historique Internet prouve le contraire. L’ancien étudiant a également cherché à faire croise qu’il avait trouvé des munitions par hasard, mais sans succès.

Après son passage devant la justice, il a été condamné à trois ans de prison, tandis que les composants ayant été imprimé ont tous été détruits. On ignore à l’heure quels étaient les motifs du condamné.

Cette affaire est exceptionnelle au Royaume Uni, au vu de l’implication d’une arme relativement inédite, et la police espère en faire un exemple pour ceux cherchant à faire de même.

 

                                  

juin 26

Un jeune homme arrêté pour détention d’arme imprimée

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Cela faisait un bout de temps que l’on n’avait pas entendu parler d’une affaire impliquant des imprimantes 3D et des armes. Après le Japon, c’est en Angleterre qu’un petit fait divers impliquant un revolver créé par une imprimante a eu lieu.

Au vu de la situation, on peut même parler de première outre-manche. En effet, c’est la première fois que la police se retrouve face à ce genre de situation. Le principal intéressé, un jeune homme de 26 ans, a ainsi vu les forces de l’ordre débarquer chez lui afin de rechercher des éventuelles traces de drogue.

Ils ont alors découvert tout un attirail pour imprimer en toute impunité un pistolet 3D. L’accusé, qui ne dispose pas de permis de port d’arme, s’est défendu en affirmant que cette arme était prévue pour un projet universitaire. Il a également ajouté qu’il ne savait absolument pas que le pistolet pouvait être létal.

La culpabilité du jeune homme a cependant été prouvée lorsque les policiers ont inspecté son ordinateur. Son historique a ainsi dévoilé des heures de visionnages de vidés montrant comment utiliser ce type d’arme.

On ignore encore quelles étaient les véritables motivations du jeune homme, qui aura droit à son jugement en août prochain.

On se souvient des diverses polémiques causées par l’impression d’armes 3D, notamment aux USA où Cody Wilson avait défrayé la chronique en mettant au point le Liberator. Pire encore, il avait mis à disposition du grand public les plans d’impression, et près de 100 000 personnes avaient pu récupérer le tout.

 

                                         

mar 03

Arrêté pour avoir essayer de vendre une arme imprimée

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Voilà que les armes imprimées refont parler d’elles ! Un homme de 27 ans, habitant Sydney a été arrêté par les autorités locales, après qu’ils aient découvert des plans chez lui pouvant servir à fabriquer des armes en relief 

Le coupable, Sun Sicen, a été libéré après une journée mais l’affaire est loin d’être terminée. La police aurait également trouvé quatre pistolets factices, deux pistolets à air comprimé, du matériel informatique ainsi que deux imprimantes chez le coupable.

Selon un des détectives chargés de l’enquête, le coupable fait face à une peine maximale de 20 ans pour la fabrication d’armes et de 14 pour possession des plans visant à imprimer des engins. La police a été prévenue des activités illicites de l’homme au travers des réseaux sociaux, où celui-ci s’est amusé à vendre ses armes pour la modique somme de $ 1 million.

Les autorités ont déclaré que les ventes d’armes en ligne étaient une «nouvelle tendance », au même titre que l’utilisation des imprimantes 3D pour créer lesdites armes. Joe Doueih, l’un des inspecteurs de l’enquête, a déclaré que la technologie d’impression était bel et bien là et qu’il suffisait d’avoir les compétences appropriées pour pouvoir se créer une arme en moins de deux.  Interrogé quant au fait d’avoir à surveiller la vente et l’utilisation des imprimantes 3D, Doueihi a affirmé que c’était mission impossible.

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Aussi pratiques que soient ces nouvelles imprimantes, c’est une preuve de plus qu’utiliser une machine inoffensive à mauvais escient peut être très dommageable. Pensez-y la prochaine fois que vous songez à imprimer des faux billets avec votre imprimante !

mai 12

Un Japonais se fait arrêter pour possession d’arme imprimée

 

Alors que nous pensions que les faits-divers concernant les armes à feu venant des imprimantes 3D seraient l’apanage du pays à la bannière étoilée, c’est du côté du Japon qu’une affaire concernant la fabrication via impression d’un engin de mort a défrayé la chronique, causant ainsi le premier cas de ce genre dans le pays.

Un jeune homme de 27 ans a ainsi été arrêté suite à diverses accusations de possessions d’armes imprimées, causant un certain remous dans un pays qui se targuait jusque là de posséder l’un des taux de criminalité les plus bas au monde.  Les deux armes saisies chez le nippon ont par la suite été analysées, prouvant ainsi que les objets étaient parfaitement capables de tuer quelqu’un.  Aucune balle n’a cependant retrouvé dans le domicile du coupable.
Celui-ci aurait ainsi télécharger des plans depuis un site étranger et aurait avoué qu’il avait imprimé les armes sans l’intention de commettre un crime quelconque, croyant que ce n’était nullement illégal de le faire.  Loin de vouloir garder son activité secrète, le jeune homme s’amusait ainsi à poster régulièrement ses activités sur Twitter, attirant  la curiosité de la police qui n’a pas manqué de s’intéresser de plus près aux activités de l’accusé.

 

Les autorités ont refusé de commenter l’incident et on ignore encore quel sera le verdict cette l’affaire relativement inédit dans le pays. Il est tout à fait possible de posséder une arme au Japon mais le pays possède également des lois très stricts et avoir un révolver dans son tiroir n’est pas donné à tout le monde. Vu que ce type d’affaire ne risque pas d’être la dernière en son genre, on ignore ainsi si une nouvelle loi devrait être inventée à l’avenir pour fabrication d’arme à l’aide d’une imprimante!