déc 12

L’imprimante 3D pour vêtements : réveillez le styliste qui sommeille en vous

L’impression 3D s’est semble t-il donné pour mission de rendre à peu près tout et n’importe quoi imprimable, allant de simples bibelots en passant par votre pizza ou votre future maison.  Il n’est presque pas étonnant d‘apprendre donc que nos vêtements risquent dans un avenir plus ou moins lointain de sortir non pas de la friperie du coin mais de votre imprimante.

Que les fashion victim modèrent leur enthousiasme, ce concept d’imprimante n’est pour l’instant qu’à l’état de…concept et devrait atterrir dans nos chaumières dans les années 2050. Autant dire que ce seront nos enfants qui risquent surtout de profiter de cette petite merveille.
Nous devons l’idée de cette machine à un designer du nom de Joshua Harris et outre les possibilités quasi infinies d’un tel appareil, on pourra aussi le lui  trouver des qualités étonnement écologiques. En effet, Harris s’est rendu compte que l’espace s’amenuisait de plus en plus dans notre monde (les villes grandissant notamment de manière exponentielle ) et que tout moyen était bon pour économiser de la place. Exit donc les grandes fabriques de vêtements, il suffira de quelques clics pour donner naissance à votre futur chandail avec le pantalon qui va bien avec.

Histoire de rester dans la perspective d’un produit à la fois pratique et écologique, Harris mise sur les vieux vêtements pour servir de “carburant” pour son imprimante.  En sus de cela, cette dernière pourra également faire office de machine à laver et de sèche linge! Il ne resterait plus qu’à y adjoindre un fer à repasser et vous aurez la penderie rêvée!

 

Il est dommage cependant que l’on doive attendre si longtemps avant de voir atterrir un tel bijou chez soi mais il est néanmoins plaisant de voir que la préservation de l’environnement devient de plus en plus le fer de lance des concepteurs d’imprimantes, 3D ou pas!  Rendez vous dans un demi siècle en tout cas pour assister  au premier défilé haute couture crée via imprimante 3D!

déc 10

L’impression 3D entre dans la danse

 

En attendant que les pizzas imprimées ne viennent squatter les stations spatiales et que les armes sortant de nos imprimantes aillent semer la terreur un peu partout, les possibilité quasi infinies de cette nouvelle technologie ne cessent de s’agrandir et c’est désormais la musique qui fait les yeux doux à l’impression en relief. En effet, le groupe de rock anglais Bloc Parry vient d’annoncer que leur prochain single sortira sous la forme d’un vinyle fraichement imprimé.

 

C’est grâce à une programmeuse du nom de Amanda Ghassaei que ce petit exploit a pu être réalisé, avec l’aide bien entendu d’une imprimante dernier cri modèle Stratasys 3D.  La programmeuse avait déjà expérimenté cette technique sur des titres de groupes phares tels Nirvana ou Pixies et c’est tout naturellement qu’elle a accepté l’offre du groupe britannique qui versera tout le produit des ventes du fameux disque à des associations caritatives.
Si la technique est encore à ses balbutiements, le résultat est en tout cas plutôt prometteur, même si , pour le moment, seul des disques à piste unique pourront être imprimés.  Selon Ghassaei, n’importe qui pourrait à son tour reproduire le disque chez lui même s’il faudrait avoir accès pour ça à une technologie de pointe pas vraiment accessible au premier venu.  Néanmoins, avec le regain chez les mélomanes des disques vinyle ( à une époque où la dématérialisation des données est reine qui plus est!) , l’impression 3D vous donnera sans doute une raison de ressortir votre vieux gramophone ou la platine vinyle.

 

L’impression 3D semble en tout cas  inspirer pas mal de musiciens et on même vu apparaitre ces dernières semaines le premier groupe au monde (nommée The 3D-printed Band ) ne jouant avec que des instruments crées par impression 3D.  Au rythme où vont les choses, créer son propre groupe ou son propre label commencera tout d’abord par l’acquisition d’une imprimante 3D flambant neuve!

nov 29

Les imprimantes 3D débarquent dans votre poste

 

Dans quelques temps vous n’irez plus dans le  bureau de poste du coin pour déposer votre colis ou envoyer un petit recommandé mais plutôt pour  imprimer une petite coque pour votre téléphone ou n’importe quel objet de votre choix. En effet, voila que la Poste viens de mettre à disposition de ses usagers trois imprimantes afin que vous puissiez approcher de plus près cette technologie dont tout le monde en parle mais qui au final demeure mystérieuse pour bien des gens.

Visant à la fois le particulier et le professionnel, vous pourrez par exemple vous faire imprimer une nouvelle coque pour votre Smartphone pour la somme de 30 euros ou tout autre objet qui sera disponible dans le catalogue sur place . Pas d’inquiétude si vous êtes un néophyte, des postiers ont été formés de leur côté et pourront vous apporter l’aide nécessaire afin que vous ne fassiez pas n’importe quoi. A noter que si vous comptez utiliser l’imprimante 3D à des fins plus professionnels (et par conséquent pour imprimer des objets plus volumineux) , un devis devra alors être effectué.

Pour l’instant ce test ne couvre que trois postes sur le territoire et si vous êtes dans la capitale vous pourrez choisir parmi les trois postes suivantes pour vous initier à l’impression 3D: celle de Boulogne-Billancourt/Hôtel de Ville, de Paris/Bonne Nouvelle et de Paris/La Boétie. Pas de chance pour ceux habitant en Province car le test sera d’abord effectué dans les trois bureaux sus-mentionnés et ce pendant six mois. Au bout de cette période d’essai, il y aura de fortes chances pour que le projet se repende sur l’ensemble du pays. Patience donc.

 

On ne peut que saluer l’initiative du service publique qui vous permet ainsi de gouter à moindres frais aux joies de l’impression 3D. En attendant que vous fassiez le grand pas et que vous achetiez votre propre petite machine!

nov 27

Seaweed : quand l’impression 3D se met au vert

 

 

Alors que le raz de marée de l’impression 3D déferle lentement mais surement sur notre paysage (les innovations et autres scandales alimentant les informations en sont la preuve), il est bon de voir que certains commencent dès à présent à considérer l’impact écologique que pourrait avoir une imprimante 3D et c’est ainsi que deux compagnies basées en Bretagne, à savoir Fabshop et Algopack,  ont unis leurs forces et sont sur le point de lancer une imprimante 3D fonctionnant à l’aide d’un matériau conçu à partir d’algues.

S’il est virtuellement possible de tout construire avec une imprimante 3D, personne n’avait encore pensé à créer un élément moins polluant que le métal ou le plastique et grâce aux têtes pensantes des compagnies sus mentionnées, il sera tout à fait possible de créer ce que bon vous semble sans faire du mal à la nature. Baptisé SeaWeed Filament ( ou SWF pour les intimes) , ce matériau serait le premier à se revendiquer 100% écolo et sera bien entendu fabriqué à partir des algues baignant dans les eaux bretonnes.
Outre ses évidentes propriétés non polluantes (nul besoin d’engrais ou autre élément chimique pour en faire pousser) , il sera difficile de se trouver en manque de matière première tant les eaux locales regorgent de plantes ne demandant qu’à être transformées en consommables.  Pour les plus impatients d’entre vous, il ne faudra pas attendre très longtemps avant de voir débarquer la Seaweed chez vous car elle devrait déjà être commercialisée aux alentours du printemps 2014.

 

Alors que les imprimantes conventionnelles ont souffert pendant des années d’une image (pas forcément déméritée) de machine parfois très polluante, l’impression 3D prend déjà les devants en proposant des alternatives vertes. Reste à savoir désormais si d’autres fabricants suivront le pas  en optant à leur tour pour des solutions plus écologiques

nov 21

Une imprimante 3D redonne vie aux dinosaures

 

Avant que vous ne vous mettiez à rêver d’une transposition dans le monde réel d’un hypothétique parc jurassique, il n’est hélas pas encore possible de redonner entièrement vie aux dinosaures par le biais de l’impression 3D. Il est cependant tout à fait possible, comme  viennent de le démontrer des chercheurs allemands, de récréer des fossiles en faisant appel à ces imprimantes dernier cri.

Pas besoin d’être un archéologue chevronné pour savoir que mettre à jour des fossiles est une tache particulièrement ardue, leur fragilité et leur accès parfois très limité rendant les choses encore moins évidentes. Histoire de palier à tous les inconvénients liés à l’extraction du squelette convoité, les chercheurs on fait appel à deux types de technologies. Dans un premier temps, une scanographie poussée du fossile désiré a été effectuée (le fossile ayant été endommagé et enterré durant la seconde Guerre Mondiale)  et une fois les données récoltées, l’imprimante 3D est entrée en jeu pour offrir aux scientifiques une réplique identique de celui-ci.

Même si recréer un fossile via une imprimante 3D n’est pas nouveau , c’est en tout cas la première fois qu’un fragment d’os est reproduit à l’identique alors qu’il est encore enfoui sous les décombres. Les possibilités que ce type de processus peuvent offrir n’ont pas échappés aux chercheurs et outre le gain de temps pour récupérer les informations nécessaires sur un dinosaure, l’impression 3D augmenterait les possibilités d’échanges entre les divers paléontologues du mondes, les modèles 3D pouvant être réimprimés à l’infini et le tout sans endommager le fossile originel.

Histoire d’utiliser le concept jusqu’au bout, les scientifiques veulent à l’avenir utiliser des matériaux plus flexibles pour reproduire les mouvements des reptiles disparues et ainsi mieux comprendre leurs modes de déplacement.

On n’est peut être pas près de revoir des dinosaures se balader dans nos champs mais au rythme où vont les choses et vues les prouesses de plus en plus nombreuses de l’impression 3D, on se prend à rêver du jour où on pourra  imprimer son propre Stégosaure chez soi!

oct 22

Armes à feu : quand les imprimantes 3D commencent à faire peur

 

arme

Propriétés de plus en plus nombreuses, modèles de plus en plus performants, la liste devient de plus en plus longue lorsqu’on parle des avantages et qualités des imprimantes 3D. Si le monde semble accueillir  ces machines à bras ouverts, un petit impair commence à apparaitre dans ce tableau tout idyllique.

Avec leurs possibilités quasi infinies, les imprimantes 3D donnent libre court à notre imagination et certains ont vu dans ces appareils un moyen de mettre au point des armes à feu de manière rapide et efficace. Pire encore, il semblerait que les armes conçues par impression en relief soient bel et bien capables de faire feu pour de vrai. Il va sans dire que certains voient d’un très mauvais œil cette nouvelle manne pour criminels en herbe et en début d’année le gouvernement américain avait fait fermé un site du nom de Defcad basé au Texas. Le site proposait ainsi  des plans pour pouvoir fabriquer son propre pistolet chez soi, le tout en quelques heures seulement et avec très peu de matériel.

L’Europe n’est pas en reste et mis à part le prix des imprimantes qui est en constante chute libre depuis quelques mois déjà, c’est surtout la possibilité de fabriquer des armes en utilisant des matériaux moins conventionnels qui inquiéte. Le métal pouvant ainsi être mis de côté en faveur du plastique, les autorités craignent ainsi que les armes nouvelle génération puissent passer les contrôles de sécurité dans les aéroports par exemple.  Il est vrai que les lois concernant la fabrication et la possession d’armes sur le vieux continent sont bien plus stricts que chez l’Oncle Sam mais quand on sait que les plans de fabrication pour armes à feu circulent désormais sur nombre de sites Web, la tentation risque d’être un peu trop grande pour certains.

A l’heure qu’il est, on n’a pas encore eu de fais divers liés à la fabrication d’armes par impression 3D et de nombreux pays, européens notamment, s’organisent pour endiguer ce nouveau type de problème dans l’œuf. Croisons les doigts pour que les futurs utilisateurs d’imprimantes 3D s’intéressent plus aux bibelots et aux meubles qu’au dernier modèle de Fa-mas!


Jouer au Jeu Doom sur une imprimante Canon Pixma! par encros

oct 18

L’imprimante 3D W. Afate, la machine qui partait de rien!

 

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Il est vrai que lorsqu’on parle de nouvelles imprimantes et autres appareils hi-tech, ce sera surtout vers les pays occidentaux ou asiatiques que nos regards se tourneront.  Cela veut-il dire que les autres pays du monde sont à la ramasse en ce qu’il s’agit d’impression?  Que nenni, et un jeune inventeur du nom d’Afate Gnikou nous montre qu’un petit pays d’Afrique peut lui aussi  fournir des têtes pensantes aptes à nous surprendre.

Alors que les imprimantes 3D sont en train de s’imposer petit à petit, voila que ce jeune Togolais a décidé de suivre l’adage “on n’est jamais mieux servit que par soi-même”  en créant sa propre imprimante 3D, le tout avec des morceaux d’ordinateurs qui ont fini à la poubelle!
Histoire de démontrer ses talents d’inventeur et par la même occasion montrer comment faire pour se débarrasser des déchets informatiques, Gnikou s’est lancé en début d’année dans son projet assez fou. Partant de rien, notre Géo Trouvetou a ainsi récupéré des morceaux d’unités centrales ou de scanners pour créer de toute pièce sa propre imprimante! Après une petite campagne sur Ulule qui lui aura permis d’amasser une petite somme (près de 4000 euros) lui permettant de se procurer des pièces neuves,  Gnikou arrive au bout de ses peines et met au point une machine parfaitement opérationnelle et fonctionnelle. Conscient de l’importance de sa création, notre inventeur voit grand et ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Prochaine étape pour celui-ci, participer à un concours organisé par la NASA afin d’envoyer une imprimante 3D sur Mars!

Avec ce projet encore plus ambitieux, Gnikou cherche avant tout à pointer du doigt l’énorme problème de pollution due aux pièces détachées de vieux ordinateurs qui encrassent l’Afrique. Au lieu d’envoyer tous nos vieux ordinateurs dans une déchèterie en Afrique, pourquoi ne pas s’en servir pour fabriquer des imprimantes 3D qui fabriqueront à leur tour des bases sur Mars? Un projet utopique? On ne l’espère pas!


Une imprimante 3D montée de toute pièces nous… par encros

sept 30

Les imprimantes 3D : vers l’infini et au-delà!

 

Alors que les imprimantes 3D envahissent petit à petit les foyers de la planète, voila que cet appareil qui s’apprête de changer de manière radicale notre vision de l’impression monte en grade et va désormais accompagner les astronautes dans leurs périples spatiales à partir de l’an prochain.

La NASA avait déjà depuis longtemps jeté son dévolu sur ce type d’imprimante et avant que cette dernière n’aille satisfaire l’appétit des astronautes, elle servira dans un premier à fournir du matériel et ce de manière rapide et efficace. En effet, vu le nombre d’outils à emporter lors des voyages interstellaires, sans compter les diverses pièces de rechanges pour les réparations, une solution plus pratique se devait d’être trouvée et c’est là que l’imprimante 3D entre en lice. Outre l’aspect éminemment pratique de l’appareil, une imprimante 3D peut même se révéler vitale dans l’espace. Si  une pièce de machinerie importante viendrait à manquer pour empêcher un satellite de nous tomber dessus, un coup d’impression et nous voila tous sauvés!

Le choix  de l’appareil ne fut pas forcément évident et la NASA dut dans un premier choisir entre les divers types d’imprimantes 3D, un voyage dans l’espace impliquant des conditions de fonctionnement autres que sur la Terre, entre vibrations lors du décollage et les différentes contraintes liées à la gravité zéro. Les imprimantes présentes sur le marché ne répondant pas vraiment aux désidératas des scientifiques, une petite start-up basée dans la Sillicon Valley fut chargé de mettre au point un tout nouveau type d’imprimante.

imprimante 3d

Outre les petites réparations basiques, la NASA voit déjà plus loin et les projets liés à l’impression 3D commencent à pousser comme des champignons à l’agence spatiale. Ce sont près de 500 000 dollars qui ont été déboursés pour un projet visant à créer d’ici 2020 de gigantesques antennes et autres générateurs dans l’espace à l’aide de l’impression 3D.  Du petit bibelot à la machine flottant au dessus de nos têtes, il semblerait que seul notre notre imagination soit la seule limite des imprimantes 3D!


La première base lunaire imprimée bientôt en… par encros

sept 18

L’impression 3D : son impact sur l’économie

 

Lecteurs de notre blog, vous n’êtes pas sans savoir que l’impression 3D occupe beaucoup les actualités ces temps-ci et au vu des nombreuses applications et innovations inhérentes à cette technologie qui apparaissent chaque semaine, on peut décemment dire que ce type d’impression n’a pas fini de faire parler d’elle, bien au contraire.  Alors que  certains utilisateurs se préparent à accueillir leur futur appareil dans leur chaumière, certains se sont penchés sur l’impact futur qu’aura cette technologie sur notre société, à l’image du Crédit Suisse qui dresse un portrait assez encourageant quant à l’avenir de ces machines.

Certains secteurs en particulier accueilleront, ou accueillent déjà, cette technologie à bras ouvert. Le secteur médical fait déjà les yeux doux à cette technologie et ce serait près de 90% des coques des appareils auditifs qui seraient ainsi crées de nos jours à l’aide d’imprimantes 3D. Tous les domaines médicaux faisant appel aux prothèses devraient ainsi se frotter les mains dans les années qui viennent, à l’instar du secteur des prothèses dentaires qui devrait voir une hausse de 12% à 16% de son marché en 2016.
Autre secteur qui devrait embrasser cette technologie de plein pied, celui de l’aéronautique ( et de son corolaire l’aérospatiale) . On a déjà des idées farfelues qui nous viennent de la NASA, entre la création de stations spatiales grâce à l’impression 3D voir même de pizzas pour ses astronautes affamés mais dans un registre plus “sérieux” , l’expansion des imprimantes dans ces deux secteurs devraient être au moins équivalent à celui prévu pour le monde médical : comptez près de 30% par année, les différents services allant de la création de moteurs et autres matériaux tout en passant par la création de logiciels d’impression pourraient générer la coquette somme de 1,6 milliard de dollars en 2016.

Si l’on devant cependant mettre l’emphase sur un secteur en particulier, ce serait tout bonnement l’utilisation personnelle de ces machines qui sortirait du lot. Grâce à son prix de plus en plus accessible, de nombreux particuliers s’arment d’imprimantes 3D et 2013 devrait connaitre une hausse de près de 100% des ventes d’imprimantes. Histoire de se mettre au diapason, certaines compagnies comme Amazon proposent d’hors et déjà des sections consacrées à l’impression en relief dans leur magasin. Une preuve comme une autre pour montrer à quel point cette technologie va s’inscrire de manière concrète dans notre quotidien.

Si certains voient les choses de manière moins positif (la firme Goldman Sachs a prévu que l’impression 3D sera l’une des technologies qui détruira notre manière de voir le commerce et l’industrie dans les années qui viennent), on peut en tout cas être sur que les imprimantes en relief ont le vent en poupe pour les années à venir et risquent de faire de plus en plus bonne impression auprès des usagers.


Une imprimante 3D montée de toute pièces nous… par encros

sept 11

Amenez votre imprimante 3D partout avec vous grâce à la Tobeca

 

Avec le temps, nous avons remarqué que bon nombre d’objets autrefois fort encombrants gagnaient en ergonomie , que ce soit les téléphones ou les téléviseurs par exemple, et les imprimantes n’ont pas échappés à cette règle en devenant au fil du temps de plus en plus petites. Alors que les modèles d’imprimantes portables fleurissent un peu partout, il n’en fallait pas plus pour que certaines têtes pensantes imaginent une imprimante 3D portative et Cocorico, ce sont des Français qui sont derrière cette trouvaille, j’ai nommé la Tobeca.

On a tous parfois besoin d’un document à imprimer en vitesse, bientôt on aura besoin d’imprimer un bibelot en mois de deux et c’est là que la Tobeca entrera en lice. Malgré sa taille succincte, on retrouve les mêmes possibilités qu’une imprimante 3D standard et il vous sera ainsi possible d’imprimer vos objets en utilisant diverses matières telles  le plastique ou le bois. Au niveau du design , cette imprimante 3D petit format aura son propre attaché-case , lui donnant une allure des plus agréables au regard. Conçu avec un mélange de plastique et de bois, la Tobeca pèse en tout et pour tout 10 kilos, ce qui la rend particulièrement apte au déplacement 
Au niveau des autres fonctionnalités, l’imprimante possède également un port USB et est compatible avec l’ensemble des systèmes d’exploitation, tout en étant une imprimante en open-source.  Disponible en quatre colories, vous pourrez aussi si vous le souhaitez recevoir une imprimante totalement montée et opérationnelle et si l’envie vous prenait de jouer les mécanos, vous pouvez assembler vous même la machine. A noter d’ailleurs que le prix variera selon l’option choisie : près de 800 euros pour la version toute prête et 700 euros pour l’imprimante à monter soi-même.

Si vous voulez à votre tour goûter aux joies de l’impression en 3D, la Tobeca pourrait être un très bon moyen de vous lancer, son prix relativement raisonnable ainsi que sa facilité d’utilisation jouant plutôt en sa faveur. Envie d’imprimer un petit objet chez vos amis? Vous savez ce qu’il vous reste à faire! 


Zuta : place à la plus petite imprimante au monde par encros