avr 15

Les imprimantes à réservoir Epson : l’heure du bilan

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Il y a près de sept ans, Epson lançait ses imprimantes à réservoirs, pour le plus grand bonheur des personnes souhaitant économiser sur leur impression. Où est-ce que la marque et son système en sont aujourd’hui ? Le bilan est plus que positif !

En effet, le constructeur japonais a écoulé près de 20 millions d’exemplaires de son imprimante magique depuis son lancement. Un joli score pour un procédé qui n’est pas sans rappeler les systèmes d’encrage en continu, un système qui est resté pendant longtemps dans le silence. Pour information, Epson a d’abord lancé son système d’imprimante à réservoir en Indonésie, avant de répandre le reste de son matériel sur l’ensemble de la planète. Résultat, près de 15 millions d’unités vendues en juin 2016.

Selon les têtes pensantes de la compagnie, les ventes ont rencontré une hausse de 25% pour cette année, les imprimantes à réservoir représentant désormais près de 40% des ventes de la marque.

Selon Koichi Kubota, l’un des responsables de la marque, les imprimantes à réservoir permettent aux utilisateurs d’avoir une belle souplesse au niveau de l’impression, sans qu’ils aient à se soucier du niveau d’encre. Idéal donc si l’on imprime à longueur de journée.

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Si ce genre de procédé semble porter ses fruits, nous pourrions assister, à l’avenir, à l’émergence de systèmes d’impression mettant les cartouches conventionnelles de côté. Quand on sait à quel point les cartouches d’encre peuvent être dommageables pour la nature, ce ne serait que bénéfique.

jan 15

Impression 3D : Epson prépare son avenir

 

Difficile de ne pas entendre parler des imprimantes 3D ces derniers temps mais chose curieuse, les grandes marques semblent pour l’instant se tenir à l’écart de cette nouvelle technologie, se focalisant toujours sur les valeurs sures comme le jet d’encre ou le toner. Histoire de montrer que les grands constructeurs gardent quand même l’œil ouvert sur l’impression  en relief, le président de la firme Epson a récemment déclaré que la marque comptait entrer dans la course d’ici 5 ans.

Présent durant le CES 2014 pour présenter leurs derniers joujoux (notamment au niveau des…montres), Epson via son PDG Minoru Usui, a ainsi exprimé le plan d’attaque de la firme qui consistait à attendre quelques années avant de se mettre à produire des imprimantes 3D. Citant entre autres la fiabilité encore discutable de certains matériaux, Usui a aussi mentionné que le temps d’impression et la précision des machines actuelles laissaient encore à désirer, les quelques expériences menées par la firme confirmant selon lui ses dires.
Histoire d’enfoncer un peu plus le clou, le président a aussi déclaré que l’engouement actuel pour les imprimantes 3D était juste bon à alimenter le buzz et que peu de personnes avaient actuellement besoin d’imprimer des morceaux de plastique chez elles.  Il reconnait néanmoins que dans les années à venir l’impression 3D pour le grand public allait connaitre un certain essor, même si Epson compte dans un premier temps se focaliser sur l’impression industrielle, visant notamment l’industrie automobile. Une machine imprimant des voitures serait-elle en cours de conception?

On ignore si l’entrée tardive de la marque dans la course à l’impression 3D ne causera pas plus de préjudice à celle-ci qu’autre chose, surtout quand on voit le nombre de petites compagnies bombardant systématiquement le marché de nouveaux concepts.  Gageons que le géant nippon possède plus de ressources que l’on ne croit et rendez vous est pris aux alentours de 2019 pour voir l’un des cadors de l’impression enfin présenter son bébé.

mai 30

Coup d’œil sur la WorkForce WF-3250 de Epson

 

Que vous soyez un particulier utilisant son imprimante de manière régulière ou une petite entreprise nécessitant une machine répondant systématiquement présente, la WorkForce WF-3250 d’Epson se présente comme un allié de choix, jouant à la fois la carte de la performance et du prix raisonnable.

 

Comme toute imprimante moderne qui se respecte, le bébé d’Epson joue allègrement la carte de la connectivité. l’Ethernet et le WIFI ne jouant pas aux abonnés absents, vous permettant ainsi d’imprimer à distance sans la moindre difficulté. A noter que les utilisateurs des services AirPrint et Print d’Apple et Google y trouveront leur compte avec cette imprimante.
Au niveau des performances de la bête, la Workforce n’a pas fait les choses à moitié et c’est au niveau de la contenance de papier que celle-ci  sort le grand jeu. Ce sera en effet prêt de 250 feuilles de papier qui pourront se loger dans le compartiment, vous laissant ainsi une belle marge avant d’être à sec.  Là où Epson fait fort, c’est dans les dimensions de l’imprimante qui sont étonnamment succinctes au vu des (grosses) capacités de la la Workforce.

Pour ce qui est de la qualité de l’impression, pas de soucis à avoir. L’encre  Durabrite sèchera en un rien de temps et saura résister aux affres du temps et à l’humidité de manière assez remarquable. La vitesse quand à elle est des plus correcte, vous compterez à peu prêt 15 ppm pour des documents recto et un peu plus de 7 ppm pour l’option recto-verso.  On est certes loin des cadors du genre mais les plus pressés seront quand même très satisfaits des performances de la machine.

Très fiable et jouant habilement sur ses fonctionnalités, vous aurez avec la Workforce droit à une imprimante ne payant pas de mine au premier abord ( même si son design est plutôt agréable) mais qui saura se montrer à la hauteur de vos attentes


Le système d’encrage en continue de la marque… par encros