juil 11

Impression 3D : une imprimante togolaise à l’honneur!!

 

Nous vous avions parlé dans l’un de nos précédents billets d’un inventeur africain, Afate Gnikou, qui avait fait sensation en créant une imprimante 3D. Rien de bien étonnant en soi mais le jeune homme avait crée son bébé à partir de pièces informatique récupérés, loin du confort d’un laboratoire moderne. Devant un tel exploit, ce créateur hors-normes avait attiré l’attention sur lui, tant et si bien qu’il a remporté un prix ce mois-ci en Espagne.

Barcelone accueillait ainsi les différents acteurs du monde des Fablab et a ainsi récompensé la création de Gnikou en remettant à ce dernier le prix de l’innovation technologique  pour la Wafate, son imprimante issue du système D. Voulant littéralement dire ‘’”imprimante du pauvre” la Wafate Printer se veut être une alternative accessible à tous, privilégiant une facilité d’utilisation et un aspect pratique plutôt qu’un design fulgurant. En sus de cela, cette imprimante se veut également écologique, histoire de faire taire une bonne fois pour toute les mauvaises langues accusant systématiquement le monde de l’impression d’encourager l’accumulation de déchets.

Pour le moment on ignore l’avenir de la Wafate  mais son créateur n’est pas avare en ambitions. En effet, celui-ci espère dans un avenir que l’on souhaite proche pouvoir utiliser cette imprimante pour construire des maisons sur Mars!! Cette initiative laisse en tout cas rêveur et devrait on l’espère encourager de nombreux autres inventeurs de par le monde à mettre la main à la pâte pour créer leur propre imprimante. Les têtes pensantes de Makerbot ou de Zeus n’ont qu’à bien se tenir!

juil 10

L’imprimante Helios One : vers une révolution de l’impression 3D

Les nouveaux modèles d’imprimantes 3D ne cessent de proposer des nouvelles fonctionnalité à tire-larigot et il ne se passe pas une semaine sans qu’une compagnie (voire même des particuliers) propose LA solution qui va redéfinir à jamais le monde de l’impression . C’est dans cette optique de changement qu’une petite Start-Up américaine du nom d’Orange Maker s’apprête à lancer une imprimante aux résonances résolument divines.

La Helios One attire le regard dans un premier temps avec un design plutôt agréable, l’appareil arborant fièrement les couleurs de sa firme. Mais les apparences ne font pas tout et c’est au niveau de ses capacités que la Helios se démarque de la concurrence.  L’appareil utilisera en effet un nouveau système d’impression nommé “heliolitographie” et qui permettrait d’imprimer de manière plus rapide et efficace. Cette nouvelle méthode s’appuierai sur un système de plateau rotatif, se différenciant ainsi des imprimantes 3D actuelles s’appuyant sur une impression ligne par ligne.

Toujours pour rester dans l’innovation, cette imprimante utilisera également une matière autre que le PLA  habituel pour se focaliser sur un type résine qui présentera l’avantage de se durcir en un rien de temps!  Ainsi, votre objet imprimé donnera plus l’impression d’être un bel objet sculpté plutôt qu’un élément imprimé bon gré mal gré.

 

Les capacités de la Helios One ne laissent pas indifférent, entre ses capacités d’impression accrues et sa vitesse d’exécution particulièrement performante. Pour les plus impatients, sachez qu’il faudra attendre jusqu’à début 2015 pour voir débarquer cette petite merveille. Aucun prix de lancement n’a pour le moment été annoncé.

juil 08

2040 : l’année où les drones imprimés voleront dans les airs

Nous sommes encore en 2014 mais certains scientifiques ne peuvent s’empêcher de fantasmer sur les futures possibilités que nous offrirons les imprimantes en relief. Alors que certains planchent sur des bases lunaires ou des membres humains, la firme BAE Systems elle planche sur un prototype d’engin qui révolutionnera tout bonnement le monde de l’aviation.

Selon ces spécialiste en armement, ces futures modèles d’avion pourraient non seulement subir des dégâts  et s’auto-réparer en plein vol mais également se “dissoudre” si jamais ils tombaient en territoire ennemi. Mieux encore, ces avions auraient ainsi à leur bord une super imprimante qui leur permettrai  de créer des drones en quelques minutes seulement pour aller faire du repérage et pourquoi pas sauver des vies. En effet, dépendant de la situation, un type de drone bien spécifique pourra être imprimé et aller secourir un homme coincé en montagne par exemple.
Les possibilités d’une telle invention sont des plus séduisantes mais selon les têtes pensantes derrière le projet, on ignore concrètement de quelle façon les avions voleront dans les années à venir mais au rythme où vont les choses, il est fort possible que ce projet de drones imprimés puisse voir le jour.

Les possibilités quasi infinies qu’offre ce nouveau type d’impression fait en tout cas rêver de nombreuses personnes de par le monde et on ne compte plus les différents secteurs adoptant l’impression 3D pour concrétiser des projets jugés impossibles. Au rythme où vont les choses, on s’attend désormais à ce que la NASA nous parle d’une nouvelle imprimante capable d’imprimer des fusées! On prend les paris?

juil 07

Le futur de l’impression viendrait….d’un garçon de 15 ans

Bien que se démocratisant à vitesse grand V, l’impression 3D rencontre encore bien des soucis, notamment au niveau de la vitesse d’impression. Alors que des ingénieurs s’échinent chaque jour à trouver des nouvelles solutions pour améliorer les imprimantes, voila qu’un dénommé Thomas Suarez prétend pouvoir mettre au point une imprimante encore plus rapide et performante que celles actuellement disponibles.  Rien de fulgurant en soi, sauf que le Suarez en question n’a que 15 ans!

Cet inventeur en puissance n’en serait pas à son premier exploit. En effet, Suarez n’a eu cesse depuis ces dernières années de mettre au point des application pour Smartphone , attirant l’attention sur lui après avoir conçu un petit jeu mettant en scène le chanteur Justin Bieber. Moins intéressé par les artistes pour adolescents désormais, il a commencé à s’intéresser à l’impression en relief après avoir rencontré les têtes pensantes de MakerBot, l’une des grosses pointures de l’impression.  Histoire de prouver à son père incrédule la portée de plus en plus importante de ces imprimantes, le petit Suarez va alors faire un tour dans les locaux de MakerBot et son enthousiasme ne s’arrêtera pas là, le jeune ayant déjà pas mal d’ambitions.

Il voudrait ainsi mettre au point une imprimante 10 fois plus rapide que celles actuellement trouvables, allant même jusqu’à déposer un brevet pour une future imprimante révolutionnaire. Si on ne peut que saluer l’enthousiasme du jeune homme, d’aucuns restent circonspects quant à ses capacités à réussir là ou de nombreux créateurs peinent encore à réussir. Néanmoins, Suarez compte passer la grosse majorité de son été à travailler sur son premier prototype.

 

Il se peut donc que les mois à venir nous mettent face à la naissance d’une nouveau génie de l’impression, même si la course à la perfection ne se fera pas sans peine. En effet, d’autres compagnies telles que CarrotCorp prétendant être sur le point de sortir une imprimante 3D qui va révolutionner le monde. Affaire à suivre!

juil 04

Le bioprinting : quand l’impression crée la vie

 

Le secteur médical ayant depuis longtemps adopté ce type d’impression nouvelle génération, il ne se passe pas une semaine sans qu’une nouveauté ou une innovation ne nous tombe sur le coin de la figure. Attendu au tournant comme l’un des évènements majeurs dans le monde de l’impression, la création de membres humains pourrait devenir une norme dans les années à venir mais pour le moment ce sont les cellules qui occupent le devant de la scène.

A ce titre, les chercheurs de l’INSERM à Bordeaux planchent activement sur l’impression de cellule avec une imprimante qui serait capable d’imprimer près de cinq types de cellules différentes.Le processus d’impression se déroulerait comme suit : il faudrait dans un premier temps mettre au point une encre spéciale qui contiendrait des cellules cultivées dans un milieu stérile. Cette encre serait ensuite déposée sous un faisceau laser qui, se mettant à bombarder les gouttelettes d’encre  de rayons infrarouges,  se mettrait alors à créer du tissu humain à partir des cellules en question.
Un procédé précis et complexe mais qui pourrait donner lieu à des innovations non dénuées  d’intérêt.  Sur le long terme, les scientifiques espèrent ainsi mettre sur pied de la peau humaine pour aider au traitement et à l’étude de certaines maladies. Un secteur comme la cosmétique verrait également ce type d’impression d’un très bon œil, mettant ainsi définitivement de côté les expérimentations sur les animaux pour des tests bien plus éthiques.

Qui aurait cru que les imprimantes pourraient redéfinir l’image de la médecine en permettant aux chercheurs d’imprimer des cellules vivantes comme on imprimerait des documents? La technologie est encore à ses balbutiements mais les progrès fulgurants en la matière laissent présager du meilleur.

juil 03

Gravement blessée à la cheville, elle se remet à marcher grâce à une imprimante

Alors que le créateur des imprimantes 3D vient à peine d’être récompensé, les nouvelles imprimantes issues de cette nouvelle technologie commencent à tranquillement s’installer dans notre paysage, notamment dans le domaine de la médecine.  Les chirurgiens semblent en effet avoir trouver dans l’impression un nouvel outil des plus efficaces pour réparer les gros bobos du quotidiens et ce n’est pas Betty Dube qui nous dira le contraire.

Cette Texane s’étend rendu en vacances en Jamaïque s’est malencontreusement  blessée lors de son séjour, se brisant complètement la cheville.  Sans doute peu aidée par son âge relativement avancé, les traitements conventionnels ne firent aucun bien à la femme  jusqu’à ce qu’un ami lui conseilla d’aller voir un médecin du nom Marvin Brown, un spécialiste en orthopédie ayant un gros faible pour les nouvelles technologies.

Particulièrement fasciné par les propriétés de l’impression 3D, Brown propose alors à Dube de passer par la case impression pour lui permettre de remarcher normalement. C’est ainsi grâce à une prothèse “In Bone II” venant “s’articuler” au niveau de l’os concerné que Dube se remis sur pied.  La prothèse imprimée lui permettrait ainsi de marcher sans problèmes et sans doleur aucune pendant près d’une dizaine d’années avant qu’une nouvelle intervention ne soit nécessaire pour remplacer la pièce imprimée.

La fabrication de prothèses imprimées a le vent en poupe et il semblerait qu’imprimer diverses parties de notre corps (os, mâchoire etc.) devienne l’une des tendances les plus en vogue à l’avenir. Ne reste plus qu’à attendre le jour où ce seront de vrais membres qui pourront sortir de nos imprimantes!

juil 03

Le créateur des imprimantes 3D se voit récompensé

Alors que ce nouveau type d’impression que nous propose les imprimantes 3D bat son plein ces derniers temps, il n’était que justice de récompenser celui qui avait redéfini le monde des imprimantes et c’est désormais chose faites. En effet, Charles Hull, créateur et instigateur de cette nouvelle technologie, s’est vu remettre le prix de meilleur inventeur  de l’année (dans la catégorie non européenne) lors d’une cérémonie s’étant déroulée à Berlin le mois dernier.

Hull s’est écrié “eureka”  dans les années 80 alors qu’il cherchait un nouveau moyen de fabriquer des pièces essentiels à la mise en place de nouveaux prototypes. Après avoir conçu la mère de toutes les imprimantes, Hull déposa tout naturellement son brevet et ce ne sont pas moins de 76 qui suivirent en Amérique (plus 18 et 14 brevets en Europe et au Japon respectivement).Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, Hull utilisa à bon escient cette forme d’impression révolutionnaire en mettant sur pied sa propre firme, 3D Systems, en1986 et celle-ci connue un sacré essor, tant et si bien que sa compagnie affiche désormais un beau chiffre d’affaire annuel de 700 millions de dollars. Cerise sur le gâteau, 3D Systems est également côté au Nasdaq désormais et compte plus d’un millier d’employés.

L’apport de l’invention de Hull est plus que vivace et on ne compte plus désormais les divers secteurs faisant appel à cette forme d’impression pour sortir moult objets. De la médecine à la cuisine en passant par l’aérospatiale, les nouvelles applications de l’impression en relief ne cessent de nous tomber dessus et gageons que les prochaines années nous réservent encore bien des surprises à ce niveau.

juil 02

L’impression 3D fait honneur au chocolat

Si vous êtes un fondu de chocolat, vous n’êtes pas sans savoir que la compagnie Choc Edge avait lancé il y a plusieurs mois de cela une imprimante 3D spécialement conçu pour imprimer votre met favori. Comme si ce n’était pas suffisant, une nouvelle mouture de leur imprimante, encore plus performante cette fois, est en train de pointer le bout de son nez.

Amateurs de PLA, passez votre chemin, cette imprimante sera surtout destinée aux plus gourmands d’entre vous.  La Choc Creator V2 se veut ainsi comme une version remaniée de sa grande sœur, avec quelques améliorations pas piquées des hannetons.

Tout d’abord son design s’est vu grandement amélioré. Avec ses belles lignes épurées et son noir profond, cette imprimante évoquera au premier abord une des nombreuses machines à café s’entassant dans nos cuisines. La Choc Creator V2 posséde également une seringue plus large et un élément chauffant particulier conçu pour garder le chocolat à bonne température pour une impression optimale. Seul petit bémol, si l’imprimante permet d’imprimer de plus gros objets, il faudra se montrer un peu plus patient cette fois.

Dévoilée pour la première fois la semaine dernière lors d’une conférence sur l’impression 3D s’étant déroulée en Chine, la Choc Creator V2 est déjà en prévente en Afrique, en Asie ainsi qu’en Europe! Vous voulez à votre tour imprimer des objets en chocolat toute la journée? Nous vous conseillons alors de commencer à mettre vos sous de côté car le prix de lancement est annoncé aux alentours de 4800 euros. Le prix à payer en somme pour pouvoir assouvir sa gourmandise!

juin 29

TOME : une imprimante 3D vraiment passe-partout

 

Le problème de la taille se posait déjà pour les  imprimantes conventionnelles et  si l’envie vous prenez  par exemple d‘amener votre appareil  avec vous en voyage, peu de chance pour que vous puissiez la trimbaler sous votre bras . A l’instar de leurs comparses  à jet d’encre ou à sublimation, les imprimantes 3D cherchent désormais à passer par la case miniaturisation, à l’image de la TOME.

Envie d’aller vous balader dans le Sahara avec votre imprimante? La TOME devrait ainsi combler vos désirs! Deux hommes, Philip Haasnoot et Corey Renner, ont ainsi  mis au point un appareil aux dimensions réduites. Selon Haasnoot, un ingénieur ayant travaillé pour des compagnies comme Motorola, cette idée lui est parvenu alors qu’il retrouvait systématiquement des outils miniatures lorsqu’il œuvrait dans l’aéronautique. Le déclic final lui vint lorsqu’il acheta sa première imprimante 3D, particulièrement frustré de voir que celle-ci était plus qu’encombrante.

Concevant dans un premier temps la moitié du système mécanique de sa TOME, Haasnoot se rendit par la suite aux USA où il rencontra son actuel collaborateur, continuant ainsi la mise en chantier de son projet. D’une dimension de 4″ X 8″ X 11″, cette imprimante utiliserait ainsi du PLA pour l’impression et devrait également être équipée d’une batterie  possédant une autonomie de 4/6 heures. La TOME sera également connectée via WIFI et détail qui devra ravir de nombreux bricoleurs, la technologie utilisée pour la conception de la machine sera accessible en Open Source.

Haasnoot souhaiterait que cette imprimante couvre divers usages, venant par exemple en aide aux médecins se trouvant loin de tout hôpital en leur permettant  de fabriquer des outils en pleine cambrousse. Pas de date précise pour la commercialisation de l’appareil mais on parle déjà d’un prix de lancement avoisinant le millier de dollars. 

juin 27

Une imprimante qui veut faire le mur

 

D’aucuns seront d’accord pour dire qu’une imprimante sera loin d’être la machine la moins encombrante qui soit, certaines personnes ayant parfois des difficultés à caser leur jet d’encre ou leur toner dans un coin de leur bureau. Bien heureusement, certaines têtes pensantes  contournent parfois le problème en mettant au point des concepts sortant de l’ordinaire, à l’image de cette “I’m hanging Printer”

Pour ceux ne pratiquant pas la langue de Shakespeare, ce nom veut littéralement dire “imprimante qui s”accroche”, pour la bonne et simple raison que l’appareil irait trôner sur votre mur et pas ailleurs. Fini ainsi les bureaux mal-rangés et le manque de place, cette imprimante pourrait enfin vous faire profiter de votre bureau comme il se doit.

Le concepteur de cette machine, Marc JuHyun Cha, a ainsi voulu créer une machine ressemblant d’avantage à une œuvre d’art qui irait s’accrocher au mur qu’à une imprimante banale. Cette machine rendrait également votre espace de travail plus organisé.  A première vue, il est vrai que cette imprimante détonne avec ses comparses habituelles. Elégante et originale, elle occuperait l’espace au minimum avec son système de rangement pratique et ergonomique.  Il suffirait par la suite de tendre la main pour attraper son document imprimé et le tour sera joué! Idem pour les cartouches d’encre, plus besoin de soulever un capot pour pouvoir installer vos consommables, il suffirait de faire glisser le compartiment pour pouvoir les installer ou les enlever.

Envie de profiter de cette imprimante “arty”? Il va vous falloir patienter car celle-ci n’a pas encore quitté les planches à dessin de JuHyun Cha et attend patiemment d’être commercialisé un jour. Vous pouvez déjà commencé à faire de la place sur votre mur, on ne sait jamais!