avr 24

Une jeune violoniste handicapée obtient un bras imprimé

Girl Violin Prosthetic

 

Quand on pense à ceux jouant d’un instrument, on les imagine mal utiliser leur instrument sans l’aide de leur membres. C’était le cas de la petite Isabelle Nicola, qui est née avec un bras en moins. Difficile dans ce genre de circonstance de devenir un as de violon, mais c’était sans compter l’impression 3D, qui allait une fois de plus venir à la rescousse d’une personne handicapée.

Il y a un an, cinq étudiants de l’université de Mason ont décidé de mettre la main à la pâte afin de créer un bras entièrement imprimé pour la petite fille.

La petite équipe a ainsi passé près de 12 mois à travailler avec la fille pour mettre au point la prothèse parfaite, permettant ainsi à Isabelle d’avoir un nouveau bras le plus confortable possible. Une professeur de musique a même été utilisée lors de la conception du bras, afin qu’elle puisse fournir les informations nécessaire pour que la petite Isabelle puisse jouer confortablement. Cette dernière n’a d’ailleurs pas tari d’éloges concernant son nouveau bras, déclarant à la presse qu’elle était très reconnaissante de ce que l’équipe a réalisé pour elle. Sans ces gens, elle n’aurait absolument pas pu jouer au violon, ou aucune autre instrument, a-t-elle rajouté.

 Girl Violin Prosthetic

Les imprimantes 3D sont définitivement entrées dans l’air du temps, d’autant plus que l’on trouve désormais des prothèses imprimées made in France. Dans un avenir proche, le quidam pourra, peut-être, imprimer des pièces pour ses propres prothèses de chez lui, sans faire appel à des professionnels. Quand impression rime avec autonomie !

juil 03

Gravement blessée à la cheville, elle se remet à marcher grâce à une imprimante

Alors que le créateur des imprimantes 3D vient à peine d’être récompensé, les nouvelles imprimantes issues de cette nouvelle technologie commencent à tranquillement s’installer dans notre paysage, notamment dans le domaine de la médecine.  Les chirurgiens semblent en effet avoir trouver dans l’impression un nouvel outil des plus efficaces pour réparer les gros bobos du quotidiens et ce n’est pas Betty Dube qui nous dira le contraire.

Cette Texane s’étend rendu en vacances en Jamaïque s’est malencontreusement  blessée lors de son séjour, se brisant complètement la cheville.  Sans doute peu aidée par son âge relativement avancé, les traitements conventionnels ne firent aucun bien à la femme  jusqu’à ce qu’un ami lui conseilla d’aller voir un médecin du nom Marvin Brown, un spécialiste en orthopédie ayant un gros faible pour les nouvelles technologies.

Particulièrement fasciné par les propriétés de l’impression 3D, Brown propose alors à Dube de passer par la case impression pour lui permettre de remarcher normalement. C’est ainsi grâce à une prothèse “In Bone II” venant “s’articuler” au niveau de l’os concerné que Dube se remis sur pied.  La prothèse imprimée lui permettrait ainsi de marcher sans problèmes et sans doleur aucune pendant près d’une dizaine d’années avant qu’une nouvelle intervention ne soit nécessaire pour remplacer la pièce imprimée.

La fabrication de prothèses imprimées a le vent en poupe et il semblerait qu’imprimer diverses parties de notre corps (os, mâchoire etc.) devienne l’une des tendances les plus en vogue à l’avenir. Ne reste plus qu’à attendre le jour où ce seront de vrais membres qui pourront sortir de nos imprimantes!

juin 26

Un homme se fabrique un bras avec une imprimante

 

On n’est jamais mieux servi que par soi-même! Cet adage mis en pratique par nombre de personnes irait bien à Nicolas Huchet, un Français qui s’est vu amputé de sa main alors qu’il n’avait que 18 ans. Un temps affublé d’une prothèse fournie par la sécurité sociale, l’homme se décidera par la suite à opter pour une solution bien plus dans l’air du temps!

Les meilleures prothèses du marché ayant un cout relativement exorbitant, c’est vers l’impression 3D que Huchet s’est tourné, la fabrication d’un bras imprimé revenant bien moins cher. Ni une ni deux, il se rend alors au FabLab de Rennes afin de voir les possibilités que lui offre cette nouvelle forme d’impression. Le coup de cœur est quais immédiat et l’option impression est définitivement adopté par Huchet qui se fera alors imprimer un nouveau bras qui répondra au doux nom de Biohand. Ce nouveau bras, armé de capteurs, lui permettant désormais de bouger les “doigts” sans trop de soucis.

Cette idée prendra alors un peu plus d’essor, devenant un projet à part entière visant à aider les personnes à s’imprimer une prothèse moins couteuse que celles disponibles sur le marché. Rappelons que les histoires mettant en avant l’utilisation d’imprimantes 3D pour fabriquer des prothèses ne cessent d’apparaitre et au fil du temps il se peut que cette nouvelle technologie devienne un atout majeur dans le monde de la médecine (ce qui est quelque part déjà le cas).

 

Quant au projet Bionico Hand qui fait suite à la petite aventure de Huchet, il continue à faire son petit bonhomme de chemin et vous pouvez si vous le souhaitez contribuer à celui-ci en faisant un petit don.

juin 20

Des adolescents fabriquent une main imprimée à un amputé

prothèse-3D

SI vous offrez une imprimante 3D à une bande d’adolescents, que pensez vous qu’ils en feront? On a de fortes chances pour qu’ils fabriquent des jouets et autres autres objets à l’utilité discutable mais certains auront parfois une âme bien plus charitable et viendront en aide à un infirme!

C’est ce qui s’est passé aux USA quand une homme de 38 ans du nom de Jayne Sims s’est vu offrir une main flambant neuve par trois élèves . Ces derniers voulaient en effet imprimer un objet intéressant pour un projet de classe et ils ont par la suite décidé de faire d’une pierre deux coups avec cette main articulé sans savoir à quel point cela allait changer la vie d’un individu.Sims avait perdu sa main lors d’un accident causé par un broyeur et s’était retrouvé du jour au lendemain particulièrement limité dans ses mouvements. Jusqu’à l’arrivé des inventeurs philanthropes!

Selon  Nke Ebolum, la petite bande voulant trouver un moyen d’aider quelqu’un  et c’est ainsi que leur est venu l’idée d’une prothèse pouvant permettre à quelqu’un d’utiliser un écran tactile par exemple.  Les élèves ont alors utilisé des plans en ligne avant d’imprimer les différentes parties constituant la main. Il est évident que cette dernière sera  loin de posséder les capacité d’une véritable prothèse mais le cout de production peu élevé de la chose ( 50 dollars contre plusieurs milliers pour une “vrai” ) donnera la possibilité d’imprimer les éventuelles parties défectueuses.

 

Au-delà de faire des miracles en terme d’objets imprimés, ces nouvelles imprimantes arrivent même à rendre le sourire à certaines personnes. Un moyen comme un autre de faire bonne impression auprès des gens!

nov 06

Imprimante 3D: quand un bricoleur vient au secours de son fils

 

Alors que certaines personnes frémissent quant aux possibilités parfois inattendues et dangereuses d’une imprimante, on est heureux de constater que des individus s’intéressent surtout aux bienfaits d’autrui plutôt qu’à la fabrication d’armes à feu nouvelle génération! Un bel exemple nous vient des Etats-Unis où un certain Paul McCarthy a crée une prothèse pour son fils handicapée grâce à une imprimante 3D.

Le fils de Paul McCarthy, Léon, s’est vu naitre avec une malformation à la main gauche, celui-ci ne possédant ainsi pas de doigts. Soucieux de trouver un moyen de venir en aide à son fils, le père se met alors en quête d’une solution pendant deux longues années et c’est grâce au  Net  qu’il va trouver la solution au problème de son fils. En effet,  après être tombé sur une vidéo montrant un bras bionique parfaitement fonctionnel, le père McCarthy décide alors d’opter pour cette solution afin d’aider son jeune fils.
Hors de question néanmoins de dépenser une fortune dans la mise au point d’une véritable main bionique qui aurait couté, c’est le cas de le dire, un bras et McCarthy décide de se tourner vers une solution aussi peu onéreuse que dans l’air du temps : l’impression 3D. Aidé dans son entreprise par l’auteur de la main bionique l’ayant inspiré, il va ainsi mettre au point une prothèse rudimentaire mais parfaitement fonctionnelle qui aura couté une modique somme par rapport à une véritable main bionique.  Son fils peut désormais faire divers taches quotidienne grâce à ses nouveaux doigts et vu le faible cout de ce type de gadget, McCarthy expérimente déjà à qui mieux mieux afin de concevoir de nouvelles prothèses lorsque Léon sera plus grand.

Une belle preuve de plus en tout cas que par delà son aspect “gadget de luxe” auquel s’apparente l’imprimante 3D, cette dernière peut se révéler être un formidable outil capable de révolutionner notre quotidien et celui de nos proches!