juil 16

Une artiste arrêtée pour diffusion de données d’impression sur son…vagin

vagin

 

Il semblerait que le Japon soit particulièrement adepte d’ affaires rocambolesques en ce qui concerne l’impression en relief! Après cet homme qui avait été arrêté à son domicile pour cause de possession d’armes imprimées , c’est au tour d’une artiste de subir les foudres de la maréchaussée locale suite à la diffusion de plans d’impression de son vagin!

Le Japon est à la fois connu pour sa sexualité débridée et sa grande pudeur, le pays étant par exemple farouchement opposée à ce que les représentations explicites  des parties génitales soient diffusées. Néanmoins, l’artiste Megumi Igarashi a semble–t’il voulu contourner de la plus belle façon cette interdiction en diffusant un peu partout non pas des images d’elle en tenue d’Eve mais des plans donnant la possibilité aux personnes possédant une imprimante 3D d’imprimer de chez eux un modèle basé sur le vagin de la dame.

Cette dernière aurait tout d’abord pris des photos de ses parties intimes avec une caméra caméra 3D, permettant ainsi la création d’un modèle numérique qu’il était ensuite possible de récupérer pour ensuite imprimer le tout.

 

La police n’a pas du tout apprécié la démarche “artistique” de Igarashi et l’a ainsi arrêté pour distribution d’informations donnant la possibilité d’imprimer des objets obscènes”. .Les fans et autres personnes n’ont pas tardé à se mobiliser pour venir en aide à la femme à coup de pétitions diverses et l’artiste risque pour le moment deux années de prison. Après la médecine et la cuisine, ce nouveau type d’impression s’emble avoir trouvé un nouveau domaine à explorer même si on doute que le grand public y soit aussi réceptif

juil 08

2040 : l’année où les drones imprimés voleront dans les airs

Nous sommes encore en 2014 mais certains scientifiques ne peuvent s’empêcher de fantasmer sur les futures possibilités que nous offrirons les imprimantes en relief. Alors que certains planchent sur des bases lunaires ou des membres humains, la firme BAE Systems elle planche sur un prototype d’engin qui révolutionnera tout bonnement le monde de l’aviation.

Selon ces spécialiste en armement, ces futures modèles d’avion pourraient non seulement subir des dégâts  et s’auto-réparer en plein vol mais également se “dissoudre” si jamais ils tombaient en territoire ennemi. Mieux encore, ces avions auraient ainsi à leur bord une super imprimante qui leur permettrai  de créer des drones en quelques minutes seulement pour aller faire du repérage et pourquoi pas sauver des vies. En effet, dépendant de la situation, un type de drone bien spécifique pourra être imprimé et aller secourir un homme coincé en montagne par exemple.
Les possibilités d’une telle invention sont des plus séduisantes mais selon les têtes pensantes derrière le projet, on ignore concrètement de quelle façon les avions voleront dans les années à venir mais au rythme où vont les choses, il est fort possible que ce projet de drones imprimés puisse voir le jour.

Les possibilités quasi infinies qu’offre ce nouveau type d’impression fait en tout cas rêver de nombreuses personnes de par le monde et on ne compte plus les différents secteurs adoptant l’impression 3D pour concrétiser des projets jugés impossibles. Au rythme où vont les choses, on s’attend désormais à ce que la NASA nous parle d’une nouvelle imprimante capable d’imprimer des fusées! On prend les paris?

juil 07

Le futur de l’impression viendrait….d’un garçon de 15 ans

Bien que se démocratisant à vitesse grand V, l’impression 3D rencontre encore bien des soucis, notamment au niveau de la vitesse d’impression. Alors que des ingénieurs s’échinent chaque jour à trouver des nouvelles solutions pour améliorer les imprimantes, voila qu’un dénommé Thomas Suarez prétend pouvoir mettre au point une imprimante encore plus rapide et performante que celles actuellement disponibles.  Rien de fulgurant en soi, sauf que le Suarez en question n’a que 15 ans!

Cet inventeur en puissance n’en serait pas à son premier exploit. En effet, Suarez n’a eu cesse depuis ces dernières années de mettre au point des application pour Smartphone , attirant l’attention sur lui après avoir conçu un petit jeu mettant en scène le chanteur Justin Bieber. Moins intéressé par les artistes pour adolescents désormais, il a commencé à s’intéresser à l’impression en relief après avoir rencontré les têtes pensantes de MakerBot, l’une des grosses pointures de l’impression.  Histoire de prouver à son père incrédule la portée de plus en plus importante de ces imprimantes, le petit Suarez va alors faire un tour dans les locaux de MakerBot et son enthousiasme ne s’arrêtera pas là, le jeune ayant déjà pas mal d’ambitions.

Il voudrait ainsi mettre au point une imprimante 10 fois plus rapide que celles actuellement trouvables, allant même jusqu’à déposer un brevet pour une future imprimante révolutionnaire. Si on ne peut que saluer l’enthousiasme du jeune homme, d’aucuns restent circonspects quant à ses capacités à réussir là ou de nombreux créateurs peinent encore à réussir. Néanmoins, Suarez compte passer la grosse majorité de son été à travailler sur son premier prototype.

 

Il se peut donc que les mois à venir nous mettent face à la naissance d’une nouveau génie de l’impression, même si la course à la perfection ne se fera pas sans peine. En effet, d’autres compagnies telles que CarrotCorp prétendant être sur le point de sortir une imprimante 3D qui va révolutionner le monde. Affaire à suivre!

juil 03

Gravement blessée à la cheville, elle se remet à marcher grâce à une imprimante

Alors que le créateur des imprimantes 3D vient à peine d’être récompensé, les nouvelles imprimantes issues de cette nouvelle technologie commencent à tranquillement s’installer dans notre paysage, notamment dans le domaine de la médecine.  Les chirurgiens semblent en effet avoir trouver dans l’impression un nouvel outil des plus efficaces pour réparer les gros bobos du quotidiens et ce n’est pas Betty Dube qui nous dira le contraire.

Cette Texane s’étend rendu en vacances en Jamaïque s’est malencontreusement  blessée lors de son séjour, se brisant complètement la cheville.  Sans doute peu aidée par son âge relativement avancé, les traitements conventionnels ne firent aucun bien à la femme  jusqu’à ce qu’un ami lui conseilla d’aller voir un médecin du nom Marvin Brown, un spécialiste en orthopédie ayant un gros faible pour les nouvelles technologies.

Particulièrement fasciné par les propriétés de l’impression 3D, Brown propose alors à Dube de passer par la case impression pour lui permettre de remarcher normalement. C’est ainsi grâce à une prothèse “In Bone II” venant “s’articuler” au niveau de l’os concerné que Dube se remis sur pied.  La prothèse imprimée lui permettrait ainsi de marcher sans problèmes et sans doleur aucune pendant près d’une dizaine d’années avant qu’une nouvelle intervention ne soit nécessaire pour remplacer la pièce imprimée.

La fabrication de prothèses imprimées a le vent en poupe et il semblerait qu’imprimer diverses parties de notre corps (os, mâchoire etc.) devienne l’une des tendances les plus en vogue à l’avenir. Ne reste plus qu’à attendre le jour où ce seront de vrais membres qui pourront sortir de nos imprimantes!

juil 03

Le créateur des imprimantes 3D se voit récompensé

Alors que ce nouveau type d’impression que nous propose les imprimantes 3D bat son plein ces derniers temps, il n’était que justice de récompenser celui qui avait redéfini le monde des imprimantes et c’est désormais chose faites. En effet, Charles Hull, créateur et instigateur de cette nouvelle technologie, s’est vu remettre le prix de meilleur inventeur  de l’année (dans la catégorie non européenne) lors d’une cérémonie s’étant déroulée à Berlin le mois dernier.

Hull s’est écrié “eureka”  dans les années 80 alors qu’il cherchait un nouveau moyen de fabriquer des pièces essentiels à la mise en place de nouveaux prototypes. Après avoir conçu la mère de toutes les imprimantes, Hull déposa tout naturellement son brevet et ce ne sont pas moins de 76 qui suivirent en Amérique (plus 18 et 14 brevets en Europe et au Japon respectivement).Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, Hull utilisa à bon escient cette forme d’impression révolutionnaire en mettant sur pied sa propre firme, 3D Systems, en1986 et celle-ci connue un sacré essor, tant et si bien que sa compagnie affiche désormais un beau chiffre d’affaire annuel de 700 millions de dollars. Cerise sur le gâteau, 3D Systems est également côté au Nasdaq désormais et compte plus d’un millier d’employés.

L’apport de l’invention de Hull est plus que vivace et on ne compte plus désormais les divers secteurs faisant appel à cette forme d’impression pour sortir moult objets. De la médecine à la cuisine en passant par l’aérospatiale, les nouvelles applications de l’impression en relief ne cessent de nous tomber dessus et gageons que les prochaines années nous réservent encore bien des surprises à ce niveau.

juin 24

“L’impression à jet d’encre n’est pas morte” selon Epson

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Si on devait évoquer l’une des choses revenant le plus souvent ces derniers temps dans l’actualité, il y aurait de fortes chances pour que l’impression en relief remporte la palme. Alors que cette nouvelle technologie semble couvrir de plus en plus de domaines et offrir de nouvelles perspectives, certains sont moins enthousiastes à cette déferlante actuelle, à l’image de la compagnie Epson.

D’après Minoru Usui, président de la marque, l’impression jet d’encre à encore de beau jours devant elle, argüant que les imprimantes 3D actuelles manquaient encore pas mal de précision et d’efficacité et que les matériaux utilisés étaient trop limités pour rendre leur utilisation vraiment intéressante.  Usui surenchérit en ajoutant que l’utilisation première de ces nouvelles imprimantes était la fabrication de bibelots et de jouets, faisant de cette technologie un secteur peu lucratif pour la marque.

Rappelons que cette dernière sort actuellement d’une restructuration assez douloureuse et essaye vaille que vaille de se relancer en misant beaucoup sur son sujet de prédilection, l’impression jet d’encre. Bien que les chiffres de vente de la compagnie sont au plus bas depuis 2006, elle a pu enregistrer une légère amélioration lors de sa dernière année fiscale. Après avoir fourni nombre de foyers avec ses imprimantes, la compagnie nippone cherche désormais à viser le marché professionnel, même si ce dernier s’est depuis des années appuyé sur la technologie laser pour sortir des documents à foison.  Epson promet cependant une nouvelle gamme d’imprimantes bien plus rapides, économiques et efficaces qui pourront damner le pion à ses comparses à toner!

 

Quoi qu’il en soit, peu de chances de voir une imprimante 3D signée Epson dans les mois à venir, les grandes marques faisant de manière générale preuve d’un certain scepticisme face à cette technologie qui ne cesse de gagner en importance.

juin 20

Des adolescents fabriquent une main imprimée à un amputé

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SI vous offrez une imprimante 3D à une bande d’adolescents, que pensez vous qu’ils en feront? On a de fortes chances pour qu’ils fabriquent des jouets et autres autres objets à l’utilité discutable mais certains auront parfois une âme bien plus charitable et viendront en aide à un infirme!

C’est ce qui s’est passé aux USA quand une homme de 38 ans du nom de Jayne Sims s’est vu offrir une main flambant neuve par trois élèves . Ces derniers voulaient en effet imprimer un objet intéressant pour un projet de classe et ils ont par la suite décidé de faire d’une pierre deux coups avec cette main articulé sans savoir à quel point cela allait changer la vie d’un individu.Sims avait perdu sa main lors d’un accident causé par un broyeur et s’était retrouvé du jour au lendemain particulièrement limité dans ses mouvements. Jusqu’à l’arrivé des inventeurs philanthropes!

Selon  Nke Ebolum, la petite bande voulant trouver un moyen d’aider quelqu’un  et c’est ainsi que leur est venu l’idée d’une prothèse pouvant permettre à quelqu’un d’utiliser un écran tactile par exemple.  Les élèves ont alors utilisé des plans en ligne avant d’imprimer les différentes parties constituant la main. Il est évident que cette dernière sera  loin de posséder les capacité d’une véritable prothèse mais le cout de production peu élevé de la chose ( 50 dollars contre plusieurs milliers pour une “vrai” ) donnera la possibilité d’imprimer les éventuelles parties défectueuses.

 

Au-delà de faire des miracles en terme d’objets imprimés, ces nouvelles imprimantes arrivent même à rendre le sourire à certaines personnes. Un moyen comme un autre de faire bonne impression auprès des gens!

juin 12

Printeer : l’imprimante 3D pour les enfants

 

Il n’y a pas d’âge pour profiter des joies de l’impression en relief!! En effet, alors que l’on a droit à un nouveau modèle d’imprimante chaque semaine, on se demandait quand sortirait un modèle réservé à nos têtes blondes et ce sera (peut-être) le cas grâce à la Printeer .

On insiste sur le “peut-être” car cette imprimante pour enfant est comme bon nombre de ses comparses en attente de financement et compte sur le soutien des internautes via kickstarter pour voir le jour. Que pouvons sinon attendre  de cette future imprimante?

Avec leurs capacités d’impression multiples et ses possibilités de création infinies, les imprimantes 3D sont en passe de devenir le jouet ultime du 21ème siècle et selon les têtes pensantes de Mission Street Manufacturing,  la compagnie derrière ce projet, ce nouveau type d’impression serait le moyen idéal de faire le lien entre les écrans dont raffolent à peu près tous les enfants du monde et une réalité bien physique avec des objets bien solides. La Printeer serait ainsi utilisable grâce à une application pour iPad et passerait par des produits comme du plastique de type  PLA pour imprimer ce que bon vous semble.

Si vous participez au financement de la petite bête, vous pourrez, dépendant de la somme investie, bénéficier d’une imprimante customisée avec couleur et nom choisis voir même la possibilité d’aller au siège de la compagnie pour pouvoir monter vous-même votre imprimante . Mission Street Marketing souhaite sur le long terme  faire de cette imprimante un outil pédagogique disponible dans les écoles et reste à savoir désormais si cette jolie petite imprimante transparente saura parler aux financeurs pour que votre gamin puisse un jour avoir le mécano ultime.  Vers une idée de cadeau originale pour la fin d’année?

juin 10

Faites plaisir à vos enfants : imprimez leur une peluche!

 

Fini d’acheter des jouets à tire-larigot pour vos bambins, pourquoi ne pas les imprimer directement?? Des chercheurs de l’université de Carnegie Mellon et de la section de recherche de Disney à Pittsburgh sont en effet en train d’expérimenter de nouvelles formes d’impressions afin de faire sortir une peluche toute douce de votre imprimante 3D!

La possibilité d’imprimer des objets à la texture toute molle est néanmoins à ses balbutiements et c’est grâce à l’apport d’une nouvelle imprimante 3D aux attributs  proches d’une machine à coudre que vous allez bientôt pouvoir imprimer des ours en peluche à loisir.  Alors que l’impression en relief s’évertue depuis des années à maitriser l’impression de diverses matières (les premières tentatives étaient d’ailleurs assez peu concluantes ) , la petite création de l’équipe sus-mentionnée semble réussi à combiner des matériaux solides et malléables.
Comme toute bonne imprimante 3D qui se respecte, la première chose à faire sera de concevoir l’objet désiré au travers d’un logiciel spécial. Une fois que c’est fait, le jouet sera fabriqué en superposant des couches de fibres de laine sur du feutre et l’aiguille de l’imprimante se chargera alors de souder les différentes fibres afin de créer un objet solide à la texture la plus douce possible.

Cette nouvelle technique d’impression (ou de couture, c’est selon) est bien partie pour paver le chemin à de nouvelles possibilité industrielles. Outre les peluches qui risquent d’envahir les chambres de vos enfants, la robotique s’intéresse également de près à cette nouvelle technologie afin de créer des futures machines plus flexibles et résistantes à leur environnement. Qui avait dit que le monde de l’impression était trop rigide?

mai 29

La MOD-T Printer : l’imprimante 3D pour les petites bourses

Quand un nouvel appareil fait son apparition sur le marché, son problème immédiat sera bien souvent son prix fort onéreux. L’impression en relief ne déroge pas à la règle et bien que les modèles d’imprimantes ne cessent d’apparaitre régulièrement sur le marché, peu de gens peuvent encore se permettre d’en acheter une.

Les choses sont bien heureusement amenées à changer avec l’arrivé notamment de la MOD-T. Cette imprimante 3D présente tout d’abord la particularité d’être moins massive que ses comparses. Le design de cette machine, conçue pour une compagnie du nom de Frog Design, joue la carte de la simplicité et de l’ergonomie mais ses lignes épurées attirent quand même le regard.  Tout l’attirail habituel prévu pour l’impression sera présent comme la pointe permettant l’extrusion de filaments mais l’imprimante se limitera à l’impression d’objets en PLA (un polymère biodégradable).

Ses capacités seront également “au rabais” par rapport aux monstres de guerre présents sur le marché ( celle-ni ne pouvant imprimer des objets d’une couche maximum de 02 mm ) mais ce sera un bon moyen de se familiariser avec cette nouvelle forme d’impression, d’autant plus que son tarif devrait justement  intéresser plus d’une personne. Affichant un prix de lancement de 199 dollars, les moins fortunés d’entre nous  auront ainsi plus de chance de s’en procurer une.

La machine est pour le moment bien partie pour être commercialisée courant 2015 et termine actuellement sa phase de financement sur Kickstarter. On pourra d’ors et déjà saluer les têtes pensantes derrière cette machine  qui proposent une imprimante 3D accessible au plus grand nombre même si celle-ci possèdera des capacité plus limités. En attendant que les cadors de l’impression en relief proposent à leur tour des machines moins couteuses!